Jide Remix OS, une nouvelle alternative système pour PC

Dérivé d’Android x86, Jide Remix OS ne promet rien d’autre que d’utiliser le système Android de Google sur un PC traditionnel. Une idée intéressante pour les capacités multimédia de ce système et son énorme logithèque gratuite. Mais qui se heurte aux problématiques habituelles du genre ainsi qu’à de fortes exigences matérielles.

On crée une simple clé USB de démarrage, Jide nous fournit tous les éléments pour le faire, puis on la branche sur un ordinateur compatible et voilà, au bout de quelques minutes, on se retrouve sur un bureau d’apparence assez classique mais qui cache en réalité le moteur d’Android.

Jide Remix OS

Remix OS : Android sur PC avec une vraie interface fenêtrée.

Remix OS est donc un système dérivé d’Android 5.1, customisé pour répondre aux besoins d’un utilisateur de PC standard, c’est à dire un utilisateur de souris et de clavier. Il offre un menu démarrer, une barre de tâches, un bureau avec un fond d’écran et une poubelle. Il propose surtout une nouvelle façon d’utiliser des applications Android.

Jide Remix OS

Des fenêtres sous Android, une barre des taches et même une poubelle.

Le point clé de Jide Remix OS, c’est sa capacité à prendre en charge des fenêtres, de pouvoir lancer des applications normalement prévues pour fonctionner en plein écran au milieu du bureau. Puis de déplacer et d’agencer ces fenêtres comme bon vous semble. Il est possible de piloter un navigateur et un traitement de texte côte à côte sans avoir à jongler de l’un à l’autre. Une prouesse déjà proposée par des constructeurs, qui modifie Android nativement sur leurs solutions, mais portée de très belle manière par Jide sur Remix OS.

Ajoutez à cela un autre détail important, un pilotage complet de la souris. Entendez par là que les fonctions de base sont reconnues avec un support de la molette, par exemple, mais qu’il est également possible de sélectionner depuis la souris un bout de phrase au milieu d’un paragraphe. Puis, avec un clic droit, de le copier directement pour le coller ailleurs. Des fonctions qui paraissent naturelles aux utilisateurs de PC mais totalement inaccessibles à une tablette Android classique.

Super ? Oui, c’est très intéressant sur le papier parce que le travail mené est efficace et bien tenu. Si Android x86 existe depuis longtemps, porter un système de tablette sur un engin non tactile n’avait pourtant pas grand sens. Rotations d’écran intempestives, et mauvaise gestion des périphériques de contrôle rendent l’emploi d’Android difficile voir impossible avec un ordinateur classique. Avec le travail de Jide sur Remix OS, on a un vrai système calibré pour l’ergonomie d’un PC.

Par exemple, le déclenchement de l’application Appareil photo détectera votre webcam pour l’exploiter. Le clavier physique est reconnu d’emblée par votre système ainsi que la partie audio ou le Wifi et l’Ethernet. La partie graphique est plus aléatoire et si les vidéos Youtube sont bien prises en charge en basse définition, un simple fichier H.264 issu d’un appareil photo numérique ne s’affichera pas du tout à l’écran. Il n’y a pas de prise en charge de l’accélération matérielle proposée par les puces externes et il faut compter sur les performances du processeur pour exécuter certaines tâches.

Aucune manipulation n’est nécessaire pour utiliser l’engin alors que le système tourne toujours sur une clé USB 8 Go et que rien n’a été installé sur le stockage de la machine elle même. Il est possible d’utiliser le système de deux manières : Soit en mode invité où chaque redémarrage restaurera une version d’origine de Remix OS. Soit en choisissant le mode Résident qui laissera toutes les applications que vous aurez installées sur la clé. Dans ce deuxième cas, l’usage d’une clé rapide, voire très rapide, est nécessaire.

Jide Remix OS

Installer Google Play sur Remix OS ? Facile grâce à XDA.

Mais une manipulation plus complexe et spécifique qu’il n’y parait

Et on se heurte déjà à la problématique habituelle de ce genre de démarrage sur USB avec les machines récentes. Il faut que l’engin hôte supporte ce type de démarrage, permette de désactiver le Secure Boot dans son Bios. Il faut également choisir le bon fichier à télécharger, la version Legacy pour les machines au bios standard, la version EFI pour les autres.

Il faut également que votre matériel soit parfaitement compatible. J’ai essayé de démarrer Remix OS sur seize machines différentes depuis sa sortie, depuis des engins commercialisés sous Windows XP et Windows 7, à des machines plus récentes sous Windows 8 et 10 qui ont également servi de cobayes : Netbooks, nettops, portables, PC de bureau, même des engins portables de 15,6 pouces assez classiques et d’autres solutions « maison » assemblées par mes soins. Mon constat est assez clair, Remix OS ne démarre jamais sur les machines les plus anciennes, il tente d’initialiser la partie graphique, plante et redémarre le système. C’est systématique sur les machines sorties sous Windows XP par exemple, il faut attendre des PC franchement récents pour commencer à trouver des stations qui fonctionnent. J’ai finalement compris que Remix OS est très instable avec les puces 32 Bits. A vrai dire, je n’ai pas réussi à faire tourner correctement le système autrement que sur des puces 64 Bits.

Un détail qui enlève une bonne partie de l’intérêt du système actuellement. Devoir utiliser un PC récent est forcément moins intéressant qu’utiliser une machine plus ancienne pour ceux qui chercheraient à recycler leur matériel. Même si il ne faut pas perdre de vue que la version téléchargeable aujourd’hui est encore une Alpha du projet final.

Le plus gros défaut de Remix OS est malheureusement encore ailleurs. Il ne dispose pas d’un accès au Play Store et ne peut donc pas installer facilement d’applications. Il n’a pas non plus droit aux services Google dont beaucoup d’applications dépendent aujourd’hui. Il est bien sur possible de télécharger des applications sous forme de fichiers .apk au petit bonheur ou d’accéder à des magasins tiers comme celui d’Amazon. Mais cela ne remplace pas,  pour un utilisateur non chevronné, la simplicité à laquelle il est habitué avec une tablette officiellement reconnue par Google.

Jide Remix OS

Le Google Play, installé « à la main »…

L’installation du Play Store de manière artisanale résout en partie le problème mais l’ensemble reste encore bancal. Les services Google ne sont pas mis à jour ce qui fait qu’une application importante peut cesser de fonctionner du jour au lendemain, obligeant alors à une gymnastique de recherche et de téléchargement sur des sources non identifiées.

Un vrai problème pour cette solution qui vise le grand public. Par défaut et sans connaitre les combines nécessaires pour accéder à ces applications, il n’y a pas grand chose que l’on puisse faire avec Remix OS. Pas de traitement de texte ou de suite bureautique dans le package de base, par exemple, ce qui empêche un usage bureautique. Le bureau est très joli mais il ne propose que le navigateur d’Android par défaut, une application calculatrice, un lecteur multimédia (MX Player), une application horloge et un gestionnaire de contacts…

On est donc loin, très loin, de ce que propose une distribution Linux plus classique comme Ubuntu ou Mint. Certes, il est agréable d’imaginer pouvoir lancer des jeux et applications Android sous Remix OS mais on n’aura pas la souplesse d’adaptation d’un Linux classique pour se glisser sur des configurations très anciennes. La récupération d’applications sera également assez hasardeuse, voire dangereuse.

Jide Remix OS

Amazon Undergound, un market d’applications alternatif efficace

Entre les fichiers .apk téléchargés au hasard qui peuvent donc être vérolés et les jeux qui ne fonctionnent pas ou qui nécessitent une maintenance lourdingue, on a bien affaire à un système encore loin d’être universel. La solution alternative la plus simple est d’utiliser un catalogue d’applications alternatif comme Amazon Underground mais alors on passe de plusieurs centaines de milliers d’applications à un catalogue beaucoup plus restreint.

Jide Remix OS

Remix OS propose un usage d’Android limité

Entre les crash système, les applications qui plantent et l’absence de tactile, l’usage de Remix OS n’est pas forcément facile. Le jeu et le multimédia sont par exemple, et c’est probablement ce que vont rechercher la plupart des utilisateurs avec ce type de solution, pas toujours évidents. Profiter des performances des puces embarquées dans les PC récents est évidemment tentant sous Android avec son énorme catalogue d’applications. La partie risque cependant d’être de courte durée actuellement. Même lorsque un jeu parvient à se lancer et à durer sans planter, cela ne veut pas dire que l’affaire sera gagnée. C’est le même souci que toutes les autres solutions de salon : L’absence de tactile ne permet pas de se servir des titres développés pour tablettes.

Un jeu  comme Riptide GP2 est un très bon exemple des titres exploitables sur la plateforme. Il est jouable, rapide et joli à regarder mais ses contrôles sont parfois en retard par rapport à vos ordres et surtout, il n’est pas possible de battre ses records puisque la seule façon de remplir sa jauge de boost est d’effectuer des gestes tactiles à l’écran. Choses impossible sur la plupart des PC. On peut donc y jouer mais on reste condamné à la seconde place.

Jide Remix OS

Beaucoup d’éléments sont déformés à l’écran.

Autre exemple, Raiden Legacy, un jeu d’arcade rétro qui fonctionne bien mais dont le graphisme est déformé parce que programmé pour se lancer uniquement en plein écran, ce qui étire l’image. Jouable mais pas forcément satisfaisant. Reste des jeux classiques en 2D comme Cut The Rope et bien d’autres qui vont parfaitement fonctionner. Cela limite l’usage de l’engin mais reste agréable à exploiter.

Jide Remix OS

Youtube passe bien en basse définition.

Les fonctions vidéo sont encore plus problématiques. Youtube fonctionne très bien en basse définition et certains codecs sont parfaitement lus par MX Player. Par contre, ne comptez pas sur la solution pour exploiter Netflix Dailymotion ou Arte TV. Pour la plupart des applications de streaming, l’expérience se solde par une lecture en basse définition … qui plante au bout d’un moment.

Remix OS est donc très prometteur d’un point de vue ergonomique et l’équipe de Jide tout comme celle d’Android x86 est au travail pour faire de ce système une solution alternative crédible. En améliorant sa compatibilité et en proposant un éventail de logiciels au démarrage, cela pourrait faire de Remix OS un vrai bon Android pour x86. Remix OS est également totalement gratuit, c’est un point à souligner, et vous pouvez le télécharger dans sa version Alpha dès aujourd’hui.

L’équipe de Jide indique également qu’elle cherche à faire de son Remix OS une application officiellement compatible avec Google Play mais cela va à contre sens des éléments habituellement réclamés par Google pour autoriser l’accès à son market. Google certifie des matériels, pas des systèmes alternatifs, même ceux basés sur le sien.

Il y a peu de chances que Google accède à la demande de Jide. L’effet de brouillage pour Android et les développeurs de la plateforme serait énorme si un jour Remix OS devenait officiellement compatible avec le PlayStore. Ce serait comme ouvrir la boite de Pandore des bugs en tous genres. Le développeur d’une application stable et majoritairement fonctionnelle sous ARM recevrait par exemple une quantité industrielle de rapports de bugs parce que des utilisateurs sous des centaines de configurations matérielles différentes n’arriveraient pas à faire fonctionner son application. Il y a donc peu de chances que Google accepte cette pollution du simple fait de lâcher un Iceberg de problèmes. Des centaines de millions de configurations différentes qui pourraient accueillir d’un coup Remix OS proposeraient autant de rapports de bugs impossibles à résoudre.

Minimachines.net

Jide Remix OS, un vrai intérêt pratique ou un exercice de style ?

Il faut remettre Remix OS dans son contexte, le système est sorti pour s’allier à un matériel spécifique développé par Jide, le Mini. Un engin très compact qui tourne grâce à un SoC ARM classique de chez AllWinner et qui se branche comme une TV Box. Un engin non tactile donc, et la recherche d’une solution pour rendre la manipulation du système plus agréable au clavier et à la souris a donc beaucoup de sens. Avec cette solution, Jide a pu proposer un engin intéressant sur un marché pourtant très encombré. Le Jide Mini peut donc fonctionner de manière tout à fait traditionnelle même si les problèmes issus de son format, de son équipement et de ses capacités perdurent.

Jide Remix

Le Jide Mini

Mais le passage vers un système Android sur PC « universel » est plus difficile à comprendre. Si on résume Remix OS, il y a plus de défauts que de bénéfices à passer un système sous Android avec cette formule. C’est probablement pour cela que l’équipe ne vous propose pas d’installer Remix OS directement sur votre système mais de le garder sur votre clé.

Remix OS ne s’installe que sur des machines récentes sur lesquelles il ne profitera pourtant pas de l’ensemble des fonctions les plus intéressantes comme l’accélération matérielle proposée par certaines puces graphiques. Un détail important car il empêche de bénéficier de la totalité des capacités des machines. La compatibilité avec Android est également assez bancale, cela veut dire que certains jeux 3D seront parfaitement exécutés, alors que d’autres refuseront de fonctionner ou seront abominablement lents. La vidéo en streaming ne fonctionne pas sur toutes les applications ni même en ligne. Youtube est bien géré mais Dailymotion ou Arte +7 ne peuvent pas être regardés avec Remix OS. La simple lecture de certaines vidéos – gérées grâce aux compétences matérielles des SoC – sera impossible.

Passer d’un engin récent sous Linux ou Windows qui fonctionne bien  à un engin récent sous Remix OS qui fonctionne moins bien n’a pas de sens. Surtout quand l’excuse la plus logique à ce passage est le travail ou le surf. Car depuis un Linux Mint ou un Ubuntu LTS d’origine, on a un beaucoup plus large panel de services qu’un Remix OS d’origine. Le faible nombre d’applications par défaut fait de Remix OS essentiellement un système de surf. Dans cette optique, avec son mode invité, la solution a du sens. Mais ce n’est ni neuf, ni une prouesse, de nombreuses clés bootables fonctionnent de cette manière et avant elles, il y avait déjà des LiveCD proposant des images Linux parfaitement exploitables permettant de surfer, lire de la musique ou des vidéos. Il faut reconnaître au système la capacité d’offrir la possibilité d’avoir dans la poche une clé avec un éventail de jeux testés au préalable, qui fonctionnent et qu’on exploitera chez un ami, sur le PC du boulot pendant la pose ou ailleurs.

Jide Remix OS

Riptide GP2 tourne bien avec Remix OS sur un PC, pas sur l’autre…

L’excuse ludique est malgré tout difficilement justifiable avec cette solution pour le moment. Remix OS ne tirant pas forcément partie des capacités maximales des machines récentes. Le système n’est pas non plus compatible avec les services de Google et votre système d’exploitation sera donc en perpétuel sursis. Du jour au lendemain, au gré d’une simple mise à jour d’application, votre jeu préféré ne fonctionnera plus. Il faudra passer un moment pour trouver puis re-télécharger tel ou tel services, voir un fichier .apk au détour d’un forum, pour éventuellement la faire fonctionner de nouveau.

Le recyclage d’un ancien PC n’est pas non plus possible, les spécifications demandées par le système sont telles qu’il n’est pas simple d’installer Android x86 sur d’anciens ordinateurs pour leur donner une seconde jeunesse. Remix OS reste assez exigeant et là où on peut, sans soucis, installer un Linux Mint dans de très bonnes conditions, il est purement impossible de démarrer Remix OS.

remix-os-cle

Le système est gratuit, il est porté par une petite équipe motivée et il faut, bien entendu, applaudir cette situation. Peut être que dans les prochaines versions tout cela va changer, au fur et à mesure du développement de l’ensemble des fonctionnalités, du passage à une version définitive du système. Mais pour le moment, Remix OS ressemble plus à un exercice de style qu’à une vraie solution. Il suffit de surfer sur Youtube avec les mots clés Remix OS pour s’en rendre compte. Beaucoup de vidéos vous montrent comment installer le système, d’autre comment manipuler l’interface ou déplacer des fenêtres. Les plus abouties sont celles où une vidéo Youtube ou un petit jeu 2D ou 3D sont lancés, ou celle avec une application en cours d’installation depuis un Google Play installé à la main, mais cela s’arrête souvent là.

Sans être contre productif, Jide Remix OS n’est pas la solution pour transformer un PC moyen sous un système classique en une bête de course sous Android, c’est un système de plus qui permet de retrouver une session personnelle sur un PC lorsque l’on est en déplacement.

Sachant que pour travailler, il proposera les mêmes fonctionnalités qu’une identification temporaire à un compte Google et pour jouer il peut être d’un coup totalement inopérant, il n’y a au final, aucun vrai avantage à exploiter dans la durée Remix OS dans cette version Alpha sur un PC.

C’est par contre une énorme opportunité pour le marché Android sous ARM. Certains l’ont bien compris et Tronsmart, par exemple, propose désormais une image à télécharger pour passer le Tronsmart Vega S95 sous RemixOS. Dans ce cas précis, et puisque la machine dispose d’une bonne gestion d’Android et d’un accès au Google Play, Remix OS est une vraie bonne idée pour mieux exploiter une TV Box qui n’a pas d’autres solution ergonomique que le duo clavier et souris.


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47 commentaires sur ce sujet.
  • 18 janvier 2016 - 9 h 20 min

    Je n’était pas allez aussi loin dans mes tests (pendant les fêtes) mais j’avais réussi à le faire tourner sur un vieillissant Toshida C2D 1.6Ghz/1Go
    je n’avais testé que le surf en diagonale et honnêtement la lenteur (ou l’inertie) du truc m’avais un peu refroidi. (pourtant USB3 32Go de la promo)

    Je n’ai pas testé sur une plus grosse machine pour la simple et bonne raison que je ne vois pas l’utilité d’un tel OS sur un « monstre » de puissance. Pour moi ce genre de solution c’est bon pour des nettops, de vieillissant PC, etc, ça permet de recycler.

    Je ne l’ai pas totalement rejeté mais ça ne correspond pas encore exactement à mon souhait de recyclage. Une installation système sur un SSD pourrais peut être me convaincre.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 9 h 24 min

    @Fabrice Spark: Tu pourrais m’indiquer la ref exacte du CPU ? Lerci.

    Répondre
  • Cid
    18 janvier 2016 - 9 h 27 min

    Ma clé usb 2.0 8Go est détectée pas assez rapide du coup mon vieux pc portable (T7100 / 4Go / ssd) ne boot pas. J’ai un netbook atom qu’on m’a laissé en réparation, j’ai même pas osé essayer.
    Le T100 a priori c’est galère aussi. Et à part pour test je vois pas l’intérêt de le lancer sur ma tour en i5…
    Tant pis ça semblait sympa.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 9 h 35 min

    Toshiba Satellite A100-749
    [email protected] / 1Go

    Aaaahhhh zut pendant que j’étais sur la machine j’ai vérifié l’image téléchargée, ce n’était pas RemixOS mais CloudReady de Neverware.

    Je suis désolé, ce matin j’ai le cerveau givré… ><

    Bon j'ai une excuse j'ai fait les tests pendants les fêtes entre 2 décuvages !

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  • 18 janvier 2016 - 9 h 40 min

    Merci pour l’article ! Pour moi le fait de pouvoir installer le playstore est déjà une très bonne chose (pas encore testé au niveau des update du framework google non automatique, un peu chiant mais il suffit de forcer la maj dans le playstore une fois installé). Par contre l’accel matériel est un vrai soucis…
    Sinon il existe un conccurent : Phoenix OS. Je ne l’ai pas testé mais contrairement à Remix OS, il est en 32bits et il existe aussi une version ARM (plus proche des smartphone donc mais ça peut marché sur certains mini PC). Attention je n’ai pas testé cet OS…
    http://www.phoenixos.com/download_x86

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  • 18 janvier 2016 - 9 h 54 min

    Bonjour,

    J’avais déjà essayé sur Arm, mais ce qui m’avait refroidi, c’est qu’il n’y avait pas le play store par défaut sur ma distribution (A80 Draco). Par contre, l’os tournait bien sur la version 4GoRam/32Go eMMC

    http://www.tronsmart.com/?p=3479

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  • 18 janvier 2016 - 10 h 23 min

    je dépoussiérerai bien mon 701 pour tenter l’expérience ^^

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 10 h 42 min

    @Tacrolimu$: Je n’ai pas réussi a le faire tourner sous EeePC 701 (Ni 901, ni 1001HA…)

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 11 h 23 min

    @pierre

    Sur une précédente discussion concernant tu étais nettement plus négatif sur remix os surtout son impossibilité de faire des copier coller ;)
    Je vois que tu as changé d’avis.

    En tout cas, la petite machine qu’est le mini remix (et son accès au playstore) est vraiment au top !!!

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 12 h 14 min

    @Pierre Lecourt: ah dommage ='(
    l’idée me plaisait bien…

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 12 h 15 min

    « Le développeur d’une application stable et majoritairement fonctionnelle sous ARM recevrait par exemple une quantité industrielle de rapport de bugs parce que des utilisateurs sous des centaines de configurations matérielles différentes n’arriverait pas a faire fonctionner son application. »
    Enfin, c’est quand même déjà un sacré bordel visiblement, alors un peu plus ..

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 12 h 22 min

    @Alexandre L.: Je ne suis pas sur que pour un développeur le « un peu plus » soit une solution acceptable. D’autant que certaines applications se font quotidiennement dézinguer par des utilisateurs qui n’ont pas compris qu’elles ne fonctionneront jamais sur leur materiel. Du coup il mettent 1 étoile parce que ça tourne pas sur leur plate forme alors que l’application ne peut pas et ne pourra jamais tourner sur leur plateforme. Avec les millions de combinaisons de PC possibles, j’ose pas imaginer la notation qui en découlerait.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 12 h 50 min

    Bonjour Pierre et merci pour cet article,
    Bonjour à tous,

    J’ai tenté aussi le boot USB3 remix OS sur plusieurs, machines, ça fonctionne plutot bien sur des foxconn et giada en i5, également sur le LIVa x², pas du tout sur un alienware X51 r2 (version legacy je vais tester plus tard la version uefi..)
    J’ai tenté aussi sur un liva 1ere génération sans succès,
    par contre j’ai essayé d’approfondir au niveau de l’installation directement sur le HDD du liva (copie du contenu de la clé sur partition fat32 de 8Go), sans succès pour le moment..
    Est ce que d’autres ont tenté l’installation directement sur le HDD ?

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 13 h 15 min

    @Jimmy: Regarde sur XDA, mais a part des installation sur cartes SD à la place d’une clé USB j’ai vu personne réussir à le basculer sur HDD.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 13 h 16 min

    Euh, c’est encore en alpha hein. Beaucoup de probleme de compatibilité ont des chances d’etres résolus d’ici la version finale.
    Quand a l’installation du playstore, c’est 2 apk, c’est pas la mer a boire non plus.

    Perso j’attends la version finale pour me faire un avis. Tester une Alpha et trouver ca pas fiable / pas assez compatible… yep.

    Perso ca m’interesse pour les utilisateurs pas qualifiés (la moitié de « mes » utilisateurs), ca sera moins chiant a expliquer et a supporter que Windows; en plus ils connaissent deja via leur tablette et leur téléphone.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 14 h 26 min
  • chp
    18 janvier 2016 - 14 h 31 min

    J’ai testé sur 4 systèmes différents (tous KO)

    Asus eeePC 1001HA (Atom N280): KO car RemixOS nécessite un proc 64bits.
    Laptop sur AMD Brazos (E2-1800) : KO. Problèmes avec AMD?
    Tablette ACER W4-820 : KO. Pas de de boot Legacy.

    Et pour finir : Mon PC de salon (Intel C2Q) : KO. Plante lors de la vérif partition.

    Ça fait beaucoup de KO en ce qui me concerne et ce, même en me disant que ce n’est qu’une ALPHA.

    De toute façon, le matériel visé sont les vieux pc (souvent en 32bits)et là, ça ne marche pas :(

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 16 h 30 min

    Pour l’installation c’est super simple.
    Sur le GRUB taper « Tab » et ajouter a la ligne de commande « install=1 »
    Et op !

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 18 h 12 min

    Et ce remix OS fonctionne-t-il avec une clé USB sur Asus T100 ?

    Merci

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 18 h 13 min

    Ça marche très bien sur un intel i3 combo nvidia

    C’est vraiment pas mal et c’est la 1er fois que j’ai une fluidité sans faille à la molette de souris sur internet tout os confondus.

    playstore fonctionne, aptoid,
    Esxplorer avec accès réseau.

    Mx player lit tout mes formats vidéo avec une fluidité parfaite

    * Il y a donc l’accélérateur vidéo actif du gpu malgré les dires de l’auteur du blog.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 18 h 13 min

    Mais du coup… lequel est le meilleur pour un vieux PC : Lubuntu (fonctionne à merveille sur ordinateur très très ancien) ou ce RemixOS ? ;)

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 19 h 22 min

    Wooow, article et test impressionnant… Ça change de la simple actu qu’on lit partout et qui n’apporte aucune valeur ajoutée contrairement à ce que tu as fait ici !

    Finalement, ce Remix OS sent surtout le bon gros coup de pub pour faire connaître Jibe et peut-être booster la vente de leur solutions matérielles…

    J’avais envie de tester sur un vieux laptop 32bits, mais je crois que je vais passer mon chemin, et plutôt me tourner vers un linux léger pour qu’il serve à quelque chose.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 19 h 23 min

    @Timothée: la réponse est claire… pour le moment, si tu veux vraiment utiliser ton vieux PC, installe Lubuntu ou autre distrib Linux légère.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 20 h 36 min

    Lubuntu 12.04 max sur un vieux pc 32bit qui ne support pas du tout le pae ou windows xp

    @ronan évidemment

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 20 h 54 min

    Pour MX Player, pour avoir le AC3 il faut se limiter à la version 1.7.28

    @Timothée: un Android est surtout intéressant sur du ARM, les accélérations matériels sont bien prises en charge. Sinon un Ubuntu, par ex, offre + de possibilités.

    Répondre
  • 18 janvier 2016 - 22 h 13 min

    @Titi: « Il y a donc l’accélérateur vidéo actif du gpu malgré les dires de l’auteur du blog. »

    Remix OS a donc eu droit à la totalité des sources nécessaires pour piloter en materiel la décompression hardware de la totalité des GPU disponibles sur le marché PC. Chapeau bas parce que cela fait des années et des années que des gens de Debian ou Ubuntu les réclament sans les obtenir. Ils ont du être super polis chez Jide :)

    Ou alors tu as essayé les formats les plus standards du marché mais pas ceux qui sont pourtant lus par la puce sous Windows par exemple ?

    Répondre
  • 19 janvier 2016 - 6 h 57 min

    Euh… je ne suis pas du tout d’accord avec toi pour une seule bonne raison : C’EST UNE ALPHA . Donc les critiques a un niveau des codecs ou du support 32-bits c’est n’importe quoi.

    Répondre
  • 19 janvier 2016 - 9 h 52 min

    @Cow Cowlinow: C’est indiqué dans le billet et surtout ce n’est pas parce que c’est une Alpha qu’il faut oublier ses défauts. Ce billet n’aurait aucune valeur si il laissait les défauts de côté parce que « c’est une Alpha ». Lens gens susceptibles d’être intéressés par ce système sont au moins au courant avant de se lancer dans son maniement.

    Répondre
  • 19 janvier 2016 - 16 h 53 min

    @leDodger: merci, tout ce passe bien jusqu’a enlever la clé et reboot .. il Grub pas .. ;) .. tant pis et encore merci

    Répondre
  • 19 janvier 2016 - 17 h 00 min

    Plus j’utilise l’interface plus je la trouve agréable et simple. Bon point quand on veut limiter les utilisations.
    Dommage qu’on ne puisse pas faire l’installation pour le moment sur le HDD et avoir un espace disque de la taille du HDD.

    Répondre
  • 19 janvier 2016 - 18 h 37 min

    @Pierre Lecourt

    Contrairement à votre article, le tactile est chez moi parfaitement géré (Asus T100 TAM)

    Pour les formats vidéo :

    Par le bouton droit souris et « Open with », j’ai attribué chaque type de fichier à être ouvert par MX Player exclusivement . MXPlayer qui est préinstallé et en mode lecture SW. Je peux certifier qu’il lit bien différents formats vidéos en toute fluidité : Tests faits avec des films lus depuis le disque du clavier (un 5400 tr/m) ou une carte Sandisk 64 Go standard insérée dans ma tablette Asus T100 TAM. Système sur clé USB 3.0 sur le port USB 3.0 du clavier;

    – Il faut sauver le soldat Ryan 1920 x 1040 mp4 (2,20Go)
    – San Andreas 1920 x 800 mp4 (1,8Go)
    – Kingsman 1920 x 808 mp4 (2,0Go)
    – Maze runner 1920 x 800 mp4 (2,5Go)

    – Divers fichiers mov 1920 x 1080 (QuickTime) appareil reflex Canon

    – Fichiers en 1920 x 1080 WMV (Microsoft)

    – Fichiers TS (AVC vidéo et AAC audio)

    Enfin lus depuis la clé USB Remix (après transfert via Airdroid)

    – Last knights 1280 x 528 MKW (description Mediainfo sous Windows: AVC vidéo / AAC audio)
    – 1940, l’or de la France a disparu 704 x 480 MPEG-TS (AVC/AVC)
    – Kafka, le dernier procès 720 x 406 FLV

    Pas si mal, non ?

    Répondre
  • 19 janvier 2016 - 21 h 52 min

    @Doigt Agile: Je ne dis pas que le tactile n’est pas géré, je dis que je l’ai essayé sur des engins non tactiles.

    Très bien pour ces formats mai sur beaucoup d’autres puces, des GPU internes ou externes, beaucoup de fichiers ne fonctionnent pas. du Xvid à l’AVCHD. Ce qui me laisse un certain (gros) doute sur la prise en charge des GPU. Surtout quand le GPU en question est propriétaire et beaucoup, beaucoup plus performant que celui de l’Atom du T100.

    En bref, j’ai testé une dizaine de machines différentes avec un GPU avancé sans pouvoir lire un seul MPEG4 ni un seul AVCHD. Sur ces 10 machines toutes avaient un GPU capable de le décoder sous Windows. Ce qui me fait écrire, je pense de façon fort raisonnable, que la version actuelle de Remix OS ne prend pas en compte les GPU. Ecrire l’inverse en testant une seule configuration compatible me semblerait beaucoup moins raisonnable par contre.

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  • 19 janvier 2016 - 22 h 06 min

    @Doigt Agile: Oups, j’ai lu en diagonale le message. La lecture en mode S/W de MX Player indique que c’est uniquement le CPU qui travaille (SoftWare) et non pas le GPU (HardWare). Ce qui veut dire que le GPU est au repos et que l’atom est hyper sollicité. Une solution qui fontionne sur les vidéos à faibles bitrates et sans codecs gourmands qui sont en général pris en charge par le hard puisque le CPU n’est pas assez performant.

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  • 20 janvier 2016 - 15 h 54 min

    Merci pour le retour !

    Malgré ce mode CPU uniquement, c’est déjà intéressant de constater qu’un certains nombre de fichiers courants sauf le 4K (voir ma liste) sont lui de manière fluide à partir tant du disque dur que d’une carte SD en ce qui concerne mon Asus T100 TAM (4 Go RAM pour la précision).

    Pour des usages ponctuels je me suis décidé à installer Droid4X comme émulateur Android 4.2.2 car il est plus léger que NOX 3 ou Bluestacks 2 et qu’il est totalement gratuit ‘comme Nox) avec une prise en charge du français pour mon clavier physique bien qu’il manque des boutons (investigations futures). Pour le clavier tactile, j’ai choisi Flesky même s’il faut lui réaccorder la priorité à chaque redémarrage d’Android.

    La boutique Android officielle est disponible dans Droid4X.

    L’usage pour moi se limite à disposer des applications Google bureautique tactiles inexistantes sous Windows Modern UI (Keep, Docs, Sheets, Slides, Drive) et le Garageband d’Android pour la création musicale, à savoir WalkBand (outil bien foutu parfaitement inexistant en tactile chez Windows).

    Pour les jeux, je suis un utilisateur très modéré (donc exploration future) mais par exemple King of Opera et MiniMotorWRT fonctionnent parfaitement en tactile. Mais Pocket Rally Lite démontre que bouger la tablette pour faire tourner la voiture ne marche pas ! Pan dans le mur ou les arbres !

    Avec MIXplorer, je peux échanger des données avec Box.net et Dropbox.

    Rien n’est parfait mais cet usage d’Android Inside permet de contourner les limitation du Microsoft Moder UI Store…

    :-)

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  • 23 janvier 2016 - 1 h 20 min

    J’imagine que l’incompatibilité avec les anciens Atoms vient du jeu d’instructions employé lorsque ce RemixOS a été compilé.
    Si c’est un projet open-source, ne serait-il pas possible de le recompiler avec comme « target » un jeu d’instructions x386 moins étendu?

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  • 26 janvier 2016 - 11 h 48 min

    Doigt Agile tu donnes le container du fichier mais pas le codex et le bitrate donc difficile de comparer. De plus pour la fluidité il faudrait voir combien de frame sont réellement rendu pendant la lecture.
    Pour finir comme Pierre l’a souligné le décodage logiciel (SW) implique la solicitation du CPU uniquement et non du GPU (HW, accélération matérielle).
    Ton test est utile mais pas concluant quant au vrai décodage matérielle.

    Répondre
  • 26 janvier 2016 - 20 h 05 min

    […] place de système de mise à jour. Pour installer celle-ci il faut télécharger Remix OS 2.0.1, reprendre une à une les étapes d’installation et… perdre les aménagements opérés sur la version  d’il y a deux […]

  • 27 janvier 2016 - 5 h 13 min

    @Pierre Lecourt:

    oui effectivement cpu-z indique le support de la ma carte (gpu) intel intégré

    oui il y a un support gpu sous remix os

    non le mode s/w des différent logiciel de lecture sous android ne veux pas dire décodage cpu.

    oui microsoft est meilleur que tout les autres réunit debian compris

    – j’ai bien compris le message merci

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  • 27 janvier 2016 - 9 h 44 min

    @titi:

    « oui effectivement cpu-z indique le support de la ma carte (gpu) intel intégré »

    CPU-Z indique la puce intégrée à la machine et son fonctionnement, mais je ne crois pas qu’il indique que la machine sur lequel il est exécuté prenne en charge oui ou non les capacités matérielles de la puce graphique par les différentes autres applications (ou alors il est très très très très balaise et il a beaucoup beaucoup changé)

    « oui il y a un support gpu sous remix os »
    Chapeau Jide, vous avez réussi a faire le tour de passe passe d’avoir les sources de : Intel, Imaginations Technologies, Nvidia, AMD et tnt d’autres pour compiler votre propre version d’Android x86 et le rendre GPU supporté. Là où tout les autres Linux s’étaient pris les pieds dan le tapis, vous parvenez a faire mieux qu’eux. Bravo les mecs mais vous auriez pu partager avec Android x86 les sources non ? Parce que votre job est surtout du cosmétique alors que Android x86 travaille sur le moteur derrière… Je trouve pas sympa de faire ça, à moins qu’en fait non, vous n’ayez aucun support GPU parce qu’aucun des développeurs de GPU n’a envie de partager gratuitement ses sources avec unepetite boite Chinoise pas connue ???

    « oui microsoft est meilleur que tout les autres réunit debian compris »

    Où est le rapport ? Ah oui, c’est vrai, en tant que « Défenseur du libre » tu reposes tout sur le dos de Microsoft et dès que l’on n’est pas d’accord avec toi, on est des suppôts de Microsoft, du coup on a tord.
    C’est super comme attitude, très mature et très positif. C’est avec ce genre de discours qu’on progresse. Le matin, tu sors de chez toi, tu marches dans une crotte et tu dois sûrement dire « Bravo Microsoft ». En fouillant bien, je suis sûr qu’ils son responsables quelque part.

    C’est e-x-a-c-t-e-m’e-n-t le genre de discours qui fait que les gens ont l’impression que la mentalité libriste est proche d’une mentalité sectaire. Des raccourcis à 2 balles, des pièges mentaux de basse-cour et des arguments en impasse. Non seulement tu ne sers pas ce que tu crois être ta « cause » à longueur d’année mais en plus tu fais tout pour lui donner une image détestable. You win.

    Répondre
  • 30 janvier 2016 - 16 h 13 min

    en faite c’est cool mais ma question est savoir pourquoi ça ne s’installe pas dans la machine

    Répondre
  • 5 mai 2016 - 19 h 37 min

    […] A la sorrie officielle de Remix OS je me posais clairement la question sur la possibilité d’…. D’abord parce que Remis OS n’était pas un materiel et que les fabricants qui payent une certification pour chaque machine mise sur le marché auraient probablement mal vu de voir un concurrent venir proposer un système exploitable sur toute solution compatible x86 sans payer cette certification. […]

  • 18 mai 2016 - 16 h 31 min

    […] d’un accès au net, de la lecture de vidéo ou autres. On imagine que les équipes de RemixOS et celles d’Asus vont travailler a optimiser les performances de […]

  • 31 mai 2016 - 12 h 50 min

    Je ne comprends pas une chose : J’ai acheté la machine à sa sortie et Play Store était d’emblée accessible. Est-ce à dire que ce n’est que pour la version PC que ce n’est pas le cas ?Ce qui m’étonnerait tout de même.

    Répondre
  • 31 mai 2016 - 12 h 58 min
  • 6 septembre 2016 - 16 h 29 min

    […] du pavé tactile mais également un menu de démarrage et permettre le fenêtrage des applications. La surcouche est similaire à celle de Remix OS et convient parfaitement à un usage sur ce type de […]

  • 16 septembre 2016 - 14 h 06 min

    […] grosse différence entre Remix OS et Remix OS Player c’est donc qu’il n’est pas nécessaire de démarrer un […]

  • 23 avril 2018 - 18 h 11 min

    […] adaptées à un usage classique de système d’exploitation de portable. Comme RemixOS, il permet d’utiliser des applications en mode fenêtré et de redimensionner celles-ci. Il […]

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