Les Chromebooks pourront bien faire fonctionner des applications Linux

Après le support des applications Android, c’est au tour du monde Linux de venir s’intégrer aux Chromebooks de Google. Le moteur de recherche a confirmé que ses machines pourront exécuter des programmes du monde Linux. Ce qui ouvre la porte à de nombreuses nouvelles possibilités.

L’air de rien, ce choix de Google pour ses Chromebooks apporte un sacré lot de possibilités à la plateforme. Cela devrait même changer l’offre matérielle des futures machines. Des milliers de nouveaux programmes pourront être installés et exécutés sur ces plateformes : Des outils comme LibreOffice, Gimp ou Krita pourront désormais côtoyer les solutions en ligne de Google ou les applications Android déjà executables.

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C’est le PixelBook, le Chromebook de Google, qui sera le premier à proposer ce nouvel outil permettant de piloter des programmes Linux sous ChromeOS. D’autres machines suivront, qu’elles soient équipées d’une puces x86 ou ARM. Bien entendu, toutes les machines ne profiteront pas de cette nouveauté, qu’elles soient munies d’un processeur compatible ou non. L’espace disque nécessaire de beaucoup d’entre elles sera insuffisant pour tenter d’installer des programmes gourmands. Certains Chromebooks vendus avec 16 ou 32 Go de stockage et ne laissant qu’une fraction de celui-ci de libre ne pourront pas profiter pleinement de cette nouveauté. Cela devrait probablement inciter les  constructeurs à proposer des engins mieux équipés sur ce poste et non plus uniquement se contenter d’un stockage minimal associé à un lecteur de cartes mémoire pour compenser. Il faudra également que les machines proposent assez de performances globales pour proposer un usage efficace des différents programmes. Les lancer uniquement ne servira à rien, il faudra assez de muscle derrière pour pouvoir les utiliser efficacement.

Proposée aux développeurs, il faudra faire une manipulation simple sur sa machine pour en profiter, l’ouverture vers Linux ouvrira les portes à de nombreux programmes au travers d’une machine virtuelle qui encapsulera les différents programmes exécutés. Conçue sur mesures, cette machine virtuelle devrait permettre une intégration parfaite des différentes applications. En installant un programme Linux, votre Chromebook fera apparaître son icône aux côtés des autres applications que vous possédez. Pas besoin de manipulation complexe ensuite pour l’exécuter mais un simple clic sur l’icône se chargera d’exécuter l’environnement nécessaire à son usage puis de lancer votre programme.

 

Exécuté dans une fenêtre, votre programme Linux pourra être déplacé, redimensionné ou poussé en arrière plan. Vous pourrez partager des données stockées sur votre stockage de sorte qu’il sera possible de télécharger une image depuis Chrome, la sauvegarder sur votre stockage. L’éditer sous Gimp ensuite, la copier coller sous LibreOffice puis l’envoyer en pièce jointe via une application Android. L’idée est de ne pas sentir de différence entre les univers mais les employer suivant les capacités de chaque élément de manière transparente.

 

L’offre de Chromebooks est toujours aussi moribonde en Europe et particulièrement en France où on ne trouve guère plus de ces machines en rayon. Peut être que cette option attirera de nouveaux utilisateurs ?

Source:  Google


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25 commentaires sur ce sujet.
  • 9 mai 2018 - 9 h 59 min

    Et bientôt, google inventera l’ordinateur avec lequel on peut faire ce qu’on veut, c’est révolutionnaire !
    Ou un bon vieux pc portable …

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  • 9 mai 2018 - 11 h 56 min

    Si c’est une machine virtuelle Linux qui s’exécute dans une fenêtre sous Chrome, Il y a fort à parier que le stockage de Chrome et le stockage de Linux seront séparés. Les liaisons entre les deux univers devra se faire en passant par le net.

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  • 9 mai 2018 - 13 h 16 min

    on peut également acheter directement une machine avec linux

    Répondre
  • Dan
    9 mai 2018 - 14 h 08 min

    Le Chromebook ça me rappelle le client léger et plus particulièrement le terminal X des années 90. Le terminal X ça valait aussi cher qu’un PC entrée de gamme, ou à recycler.
    Si pour pouvoir exécuter du Linux sur un Chromebook Il faut augmenter les capacités de la bécane et donc les tarifs, alors autant utiliser un PC sous Linux.

    Quant à «l’idée de ne pas sentir de différence entre les univers mais les employer suivant les capacités de chaque élément de manière transparente», je dirais que, la transparence en info, comme voeu pieux, ya pas mieux :)

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  • 9 mai 2018 - 14 h 24 min

    @eugene: Yep. Mais je pense que si le milieu scolaire voulait acheter des PC sous Linux cela aurait fini par se voir. On peut pas dire que cela se bouscule sur le marché aujourd’hui. Apporter le monde Linux par une porte dérobée est pas une si mauvaise idée je trouve.

    @Dan: Bah si l’ensemble des éléments propose de piocher sur le stockage interne de la machine, cela devrait le faire. Après la compatibilité des divers formats sera plus ou moins problématique comme d’hab.

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  • dja
    9 mai 2018 - 16 h 04 min

    Chromium, c’est un kernel linux. Ils sont sympa chez Google de bien vouloir executer des applis linux… Modification qu’ils font suite aux résultats médiocres des Chromebook. Ils veulent remplacer les distributions linux donc. Faire le même coup qu’android.

    Le Chromebook est une arnaque Google de plus pour verrouiller le pélerin.
    Google prend de l’opensource, android… chromium… chrome avec webcore/webkit, rajoute du code, pas forcément opensource, et de temps en temps, ils redonnent des briques de software inutiles à la communauté et font perdre du temps à tout le monde.
    On peut citer brotli, snappy, avec des benchmarks orientés qui vont juste faire perdre du temps à tout le monde (c’est du vécu).
    Pour le reste, leur pseudo opensource est bien sûr basé sur Google Cloud.
    Qu’attendre d’une boite qui vend depuis 15 ans que de la pub et rien que de la pub ?
    Qu’attendre d’un OS qui serait fourni par cette société ?

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  • 9 mai 2018 - 16 h 07 min

    @Pierre Lecourt: « le monde Linux par une porte dérobée » frissons :p

    16 ou 32 Go de stockage je sais cpas combien pèse ChromeOS mais un GNU/Linux complet sais se contenter d’un petit 8Go d’espace (voire mois sous ARM) après si c’est du FlatPak ça risque d’être un peu plus lourd à cause des runtimes.

    @Serge Rocher: je pense plutôt à un schroot où il y aura donc moyen que les 2 systèmes se voient tout en utilisant le même noyau rien que ça c’est 100Mo de gagné

    mais d’un point de vue sécurité (pour google) etc je pense plutôt à du FlatPak donc va falloir de l’espace disque comme ça pas de risque que l’utilisateur explose ChromeOS

    vivement les 1ers retours ^^

    Répondre
  • 9 mai 2018 - 16 h 38 min

    @dja : tu as raison ça ne fait aucun doute. Google se décide à ouvrir sa prison, mais un tout petit fenestron avec bien du grillage ! Vu que les utilisateurs moyens de linux sont généralement assez remontés contre google c’est assez curieux de les prendre pour coeur de cible. Les autres ne lanceront jamais de linux et ne verront pas là un argument d’achat. L’info va vraiment mal pour que des idées pareilles soient matérialisées dans les machines.

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  • 9 mai 2018 - 17 h 03 min

    @dja, @H2L29 et @Dadoo: Il y a plusieurs façons de prendre cette news :

    La pessimiste en se disant que c’est un simple calcul de plus de Google pour capter des parts de marchés.
    L’optimiste en se disant que cela permettra peut être à certains de découvrir autre chose que Windows/Android et chrome.

    Répondre
  • dja
    9 mai 2018 - 17 h 15 min

    @Pierre Lecourt: Disons que le jour où les équipes Google, les salariés Google, travailleront sur Chromebook, leur tentative d’imposer leur Cloud et leur Chromebook en entreprise sera étudiable…

    Et oui… les salariés Google sont sur Windows et certains techs sur linux.

    Donc pour le moment, avec leur bullshit de productivité Chromebook/Cloud, on ne peut conclure encore une fois qu’à une nouvelle tentative de Google de verrouillage et de nivellement par le bas du marché.
    C’est leur fond de commerce, rendre les gens bêtes et dépendants.

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  • Dan
    9 mai 2018 - 18 h 45 min
  • 9 mai 2018 - 19 h 01 min

    Franchement marre de la politique de chez GOOGLE sur les Chromebooks en France .
    c’est voulu ou bien le français sont trop exigeant avec un clavier en AZERTY .
    Perso ,le CHROMEBOOK m’intéresse pour sa compatibilité ANDROID et sa facilité d’utilisation .
    Que le clavier soit Français ou Anglais me cause pas de problème ,je n’achète pas pour du Traitement de Textes .
    Je suis donc déçut que seul AMAZON propose un choix minimum et que les autres vendeurs eux virent leur liens vers du matériel Windows .

    J’ai un petit PC ACER tactile qui est un peu lent sous Windows et qui bloque un poil sur les vidéos YouTube .
    La même machine en CHROMEBOOK serait plus rapide si elle était importée en France .

    Reste a un Fabricant d’oser le CHOMEBOOK mais il semble que les fabricants n’osent plus comme du temps de l’ORIC ,SPECTRUM ,CPC ,C-64 .

    Répondre
  • Dan
    9 mai 2018 - 19 h 15 min

    @ptitpaj:
    Quand tu penses à un chromebook, tu le vois à quel prix moyen ?

    Répondre
  • 9 mai 2018 - 19 h 59 min

    @Pierre Lecourt: et le curieux qui se fout pas mal des parts de marché et ne conseillera jamais ce type de matos mais qui s’intéresse de savoir quels choix techniques seront faits quand ils auront officiellement intégré cette possibilité :D

    non pas que je soit remonté contre google mais quand j’utilise GNU/Linux j’aime avoir la maitrise du soft de A à Z

    sinon manque de confiance et limitation à ce que je fais comme sous android et windows : divertissement et rien d’autre limiter la connexion aux services au strict nécessaire ^^

    Répondre
  • 9 mai 2018 - 20 h 01 min

    En essayant de porter les applications Android sur Chrome OS, Google y est finalement parvenu via les containers Linux.

    En capitalisant sur ce travail, ils ont pu facilement étendre ce principe aux applications Linux.

    Faut pas y voir plus que ça. Ce que Google y gagne, c’est la possibilité d’avoir un OS jonglant avec des applications Desktop et des applications Mobile. Et ainsi mieux concurrencer Windows et Mac OS.

    Chose que les autre distributions Linux ne parviennent pas à faire.

    Répondre
  • 9 mai 2018 - 21 h 47 min

    @H2L29: Ben en France c’est un peu tout le monde puisque les machines sont quasi indispo en permanence hors marché éducatif…

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  • 10 mai 2018 - 7 h 02 min

    @dadoo l’utilisateur de Linux depuis 1998 (libération totale de mes PCs depuis 2000) que je suis ne partage pas ton analyse. En Belgique la vente forcée de windows à l’achat d’un pc neuf est absolue pas comme en France ou moyennant certaines contraintes pour certaines marques on peut acheter du matériel sans la boîte noire made in Redmond / malware de la NSA ou au moins se le faire rembourser (je ne souhaite pas faire augmenter les statistiques de vente ni donner ne serait qu’un euro symbolique à cette entreprise). Dès lors toute initiative qui permet d’acheter un pc portable neuf (ma solution actuelle est l’achat en seconde main ThinkPad x220 ou hp elitebook 2560p ou autre dell latitude) est une très bonne chose en clavier azerty belge on peut trouver que du très haut de gamme spitfire manjaro édition de chez stationx, Dell xps developper edition ou alors du clevo (le choix est mince). Un chromebook est une solution plus acceptable pour moi puisque je ne suis pas obligé de payer pour un logiciel privateur à l’achat de matériel et je peux éviter d’utiliser les services de Google si c’est moins choix. Le seul souci est la difficulté à remplacer le système d’origine par un vrai Linux. Ceci étant si on pouvait avoir une vrai concurrence même entre des systèmes propriétaires ce serait bénéfique Microsoft à baisserait le montant de sa taxe / coût de la licence oem dans un premier temps voir fournirait son os gratuitement pour garder ses parts de marché face à un concurrent de taille. Il suffit de voir le non coût de la licence Windows pour le raspberry ou il y a de la concurrence… Pour en revenir à l’aversion à Google chez moi je ne parlerai pas pour d’autres elle est faible car je ne suis pas obligé d’utiliser leurs services ni de leur payer une taxe alors que je suis obligé d’accepter le racket de Redmond pour acheter le matériel de mon choix. L’uefi qui nous a pourri la vie c’est pas Google, chromium peut me dépanner sous Linux même si je reste fidèle à Firefox (à quand edge en open source sous Linux), merci à Google pour permettre à lineageos d’exister et d’avoir un smartphone libre. Si Gmail et Google search ne répondent pas à mes besoins de respect de ma vie privée libre à moi de ne pas les utiliser, le propriétaire et les malware ne me dérangent pas si je ne dois pas les utiliser ou si je dois payer pour ne pas les utiliser. A oui dernier point fondamental, Microsoft pousse/milite/fait du lobbying pour permettre le brevet logiciel (brevetabilité des idées et concepts mis en œuvre par ordinateurs) alors que le droit d’auteur permet de protéger le code (là où se situe la valeur ajoutée et le travail) encore une fois sur ce sujet Google est plutôt du bon côté pour permettre l’innovation. Bref je suis persuadé que la vie numérique d’un libriste serait plus facile avec un chromeOS à 20% et windows à 70% (le reste Macosx, Linux et autres) qu’avec la situation actuelle. Bref je préfère acheter du matos avec du soft inutile/nuisible gratuit de chez Google qu’avec du soft payant inutile/nuisible de microsoft. Avec un nouvel ami autoproclamé comme Microsoft Linux n’a pas besoin d’ennemi, il est parfaitement servi sur le poste de travail (uefi, format docx non completement ouvert, emploi de polices propriétaires, soutien au brevet logiciel, etc…)

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  • 10 mai 2018 - 12 h 59 min

    Houla ca pique les yeux.

    Répondre
  • 10 mai 2018 - 14 h 37 min

    @Dan
    J’imagine mal un CHROMEBOOK grand public a plus de 350/400 euros .
    Ceci dépendant tout autant de la taille de l’écran que de l’usage d’une dalle tactile ou non .

    Ceci dit ,il me semble qu’Acer avait osé un modèle pas trop mal en 13 pouce et que pas mal de bon 11 pouces offraient une dalle tactile .

    Si pour le processeur un bête Intel Celeron fait souvent l’affaire ,un minimal de 4 go de RAM , 64 Go de Stockage assortit d’un lecteur de carte SD me semble utile .

    J’ai acheté en solde en début de cette année un Netbook 11 pouces ACER qui fonctionne pas trop mal et qui serait encore mieux avec un CHROME OS .
    Petite machine sympa et tactile payée 150 euros ,preuve certaine qu’il doit être possible de sortir ce type de machine a 300 euros avec un Ecran HD 1900*1080 .

    Si je prends le prix d’un portable WINDOWS chinois ,je tombe entre 300 et 600 euros selon la marque et dans une taille d’écran de 10 & 14 pouces .

    Alors quand ,je vois le prix de certaines daubes sous CHROME OS dans mes recherche ,je râle contre les fabricants et les revendeurs qui osent nous proposer cela .

    Comme beaucoup ,j’utilise Windows ou LINUX sauf qu’il faut le reconnaître c’est lourd et souvent lent sur de petites machines .

    Pour surfer et jouer a quelques petit jeux un mélange CHROME OS & ANDROID me semble donc parfait sauf que je mettait pas 500 ou 600 euros sur ce type de machines .

    Je pense qu’entre ma recherche et les possibilité techniques actuelles ,il est possible de sortir une bonne machine générique capable de tourner sous divers OS .

    Après c’est sur qu’une même base doit offrir a la fois au constructeur la possibilité de vendre avec divers OS et diverses configuration ,ou mon CHROME OS peut offrir que 32/64 GO de stockage ,un WINDOWS peut demander une machine offrant 64/128 Go de stockage .

    La différence de prix se justifiant alors par l’OS FOURNI ,la quantité de stockage ,la définition de l’écran aussi .
    Si Windows peut réclamer une puce graphique supplémentaire ,il reste certain que CHROME OS ou ANDROID se contenteront du GPU intégré de chez INTEL .

    Répondre
  • Dan
    11 mai 2018 - 10 h 15 min

    @ptitpaj:
    Je vois plutôt le chromebook entre 250 et 300 € maxi, je pense que ça doit rester une machine basique, mais effectivement j’intègre pas comme tu le soulignes des options genre écran tactile, lecteur SD.
    J’ai failli en acheter un, mais vu les prix des PC chinois, j’ai préféré rester sur du PC.
    Je vais récupérer mon vieux HP DM1 que je connais bien, qui rame sous W10 et chauffe un max même sous Linux, pour tester Chrome OS pour PC.

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  • 11 mai 2018 - 11 h 18 min

    J’espère que Google aura l’honnêteté de remercier le dev de crouton qui a du leur abattre la majorité du taf et rester suffisamment « open » s’il développe l’accélération graphique avec la pile linux …

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  • 11 mai 2018 - 16 h 44 min

    @pipou24: c’est pas dit que l’implémentation soit basée sur le travail de Crouton

    Répondre
  • Dan
    14 mai 2018 - 11 h 13 min

    J’ai essayé Chrome OS sur mon Xiaomi 12 avec une clé USB bootable et mon compte GMAIL. Je ne l’ai pas installé en dual boot. Ça me plait bien, c’est simple, efficace, très réactif, plus réactif que Win 10.
    Le touchpad réagit mal, la glisse ne répond pas bien pour positionner le pointeur, on dirait que ça lag …. J’ai été obligé d’installer une souris bluetooth pour tester dans de meilleures conditions. J’avais eu les mêmes problèmes de touchpad quand j’avais essayé Linux 16.04.

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  • 15 mai 2018 - 11 h 14 min

    @Dan: il semblerai qu’il ai eu du changement ces dernières version ce ce coté ci (voir libinput) ubuntu 18.04 18.10 debian 9 10 fedora 27 28

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  • 20 mai 2021 - 18 h 06 min

    […] Cela restera une option a activer et dépendra du passage à ChromeOS 91 qui devrait être proposé dans quelques semaines. Mais cela fait une corde de plus à l’arc de ces machines qui étoffent de jour en jour leurs capacités. […]

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