Samsung Gear 2, au coeur d’un gadget déjà obsolète

Comment ça fonctionne une montre connectée ? Quels éléments sont intégrés ? Si la Samsung Gear 2 souffre d’un gros problème de calendrier suite à l’apparition du système Android Wear de Google, il est intéressant de regarder comment le constructeur l’a assemblée, quelle recette y a été employée. Et ce qui cloche, déjà, par rapport à la concurrence.

Les montres connectées de la gamme Samsung Gear ne sont pas encore distribuées mais sont déjà très éloignées du reste du marché dans leur fonctionnement. L’arrivée d’Android Wear a changé la façon de voir et de concevoir ces engins. Avec Android Wear, c’est la totalité du fonctionnement interne d’une montre qui va être chamboulée, tous les éléments qui constituent la Samsung Gear 2 ont été conçus pour faire tourner un système, les futures montres connectées seront, quant à elles, fabriquées avec un objectif de réception et d’affichage de ces mêmes données.

Samsung Gear 2

La puce intégrée aux Samsung Gear 2 et Gear 2 Neo est un processeur ARM maison, un Exynos 3250 double coeur cadencé à 1 GHz, le même que dans la première montre de la marque. Un équipement rendu nécessaire par la présence d’un vrai système d’exploitation dans la montre. Lancée avec Android elle est passée sous Tizen pour ce reboot, un choix qui devrait permettre à Samsung de mieux gérer son autonomie et de travailler en toute indépendance d’un smartphone. Mais un choix opposé à ce que préconise Android Wear.

Si les Samsung Gear de nouvelle génération pourront travailler de manière indépendante, elles consommeront beaucoup plus d’énergie avec ce type de puce qu’un engin n’ayant besoin que de stocker des infos reçues d’un autre objet et les afficher sur un écran. Ce changement d’approche modifie considérablement le materiel nécessaire.

De ce choix de fonctionnement découlent la totalité des composants intégré à la montre de Samsung : Grâce à ce processeur, il est possible de faire beaucoup de choses avec sa montre et c’est un vrai bon point pour tout les adeptes de gadgets James Bondien : La présence d’une webcam dans la montre sera impossible pour les modèles sous Android Wear par exemple.

Samsung Gear 2

A gauche en blanc, la batterie de la montre

On découvre également la grosse batterie 300 mAh cachée sous l’écran 1.63 pouces de 320 x 320 pixels. elle occupe presque les 2 tiers de l’espace et semble également déterminer l’épaisseur de la montre. L’ensemble des éléments est assemblé via des petites nappes souples qui se connectent et se retirent facilement. C’est ce qui explique la note de 8/10 attribuée par iFixit pour cette montre. Un joli score en trompe l’oeil encore une fois, car il n’est pas dit que les composants nécessaires soient présents sur le marché des pièces détachées, ils ont tout l’air d’avoir été construits sur mesure par et pour la marque.

Samsung Gear 2

Le plus intéressant dans cette dissection de la montre est dans l’approche conceptuelle du projet. Samsung a choisi de travailler en solo, autour d’un système Tizen relié à un smartphone qui lui fournit les données nécessaires au fonctionnement de base de ses interactions. Certes la montre est capable de travailler seule, loin de tout smartphone, mais elle remplit alors des fonctions annexes au rôle d’une montre connectée : Prendre une photo n’est pas forcément ce que recherche le possesseur d’une montre de ce type.

Samsung Gear 2

Toutes ces des fonctions avancées ne lui permettent pas pour autant de communiquer directement avec le monde extérieur et la montre doit donc s’appuyer sur un autre réseau, via Bluetooth, comme un engin sous Android Wear. Cette volonté d’autonomie est probablement ce qui a bloqué les fabricants de montres connectée pendant des années. Parce que le materiel embarqué, et notamment la batterie nécessaire, ne sont pas encore prêts à un fonctionnement de ce genre. Samsung a également du recourir au système Tizen pour optimiser son autonomie, tous les fabricants n’ont pas cette opportunité ou les compétences nécessaires. Cela suppose également une montre assez imposante et malgré tout, une autonomie assez faible malgré tous les efforts de la marque : Le processeur sera gourmand et les services annexes qu’il propose pour se justifier (comme la présence d’une webcam 2 mégapixels) sont eux aussi énergivores.

Samsung Gear 2

La photo qui ne doit pas plaire à Samsung…

L’approche d’Android Wear balaye ces problématiques : Certes le système ne supportera pas de fonctions avancées comme la prise de clichés ou autres. Mais le fonctionnement de la montre est totalement bouleversé : Les données ne sont plus calculées par la montre mais par le smartphone qui envoie vers votre poignet les informations à afficher. La montre se contentera des services de base de ce type d’engin : Afficher l’heure sera par exemple dans ses cordes. Mais tous les calculs lourds seront pris en charge par le smartphone qui assurera sa communication avec l’extérieur : Cela suppose un processeur aux capacités très basiques, très peu gourmande en énergie et propose ainsi une meilleure autonomie à l’ensemble même si la batterie embarquée est plus faible. Une petite batterie qui ne forcera pas les constructeurs à choisir un design toujours de même format ou de même épaisseur.

Samsung Gear 2

Le microphone, monté sur nappe et interchangeable

Deux derniers points et peut être les plus importants car ce sont eux qui vont rendre d’office les montres Gear 2 obsolètes : Ajouter une application sur la montre de Samsung et ses 4 Go d’espace mémoire nécessitera un développement spécifique alors que le même résultat à l’écran ne demandera qu’une mise à jour des applications déjà présentes dans votre smartphone, quel qu’il soit, pour les montres sous Android Wear. L’espace disponible sur votre Smartphone étant souvent bien plus large et le bout de code nécessaire pour que votre application soit compatible avec votre montre bien plus faible.

Un exemple, sous Samsung Gear 2, rajouter une application Dropbox pour connaitre l’état de votre service en ligne nécessitera une application sur mesure, capable d’interroger le site en ligne en passant par votre smartphone. Cette application sera stockée entièrement sur votre montre et occupera quelques méga-octets. A l’écran elle affichera une alerte pour vous signaler par exemple que les dernières photos prises avec votre smartphones sont désormais sauvegardées dans le cloud.

Android Wear

Sur Android Wear, l’affichage de l’information de synchronisation sera exactement le même, mais c’est votre smartphone qui vérifiera de lui même l’état de celle-ci et qui enverra juste vers votre montre une information à afficher. Pour se faire elle aura été mise à jour avec quelques bouts de code supplémentaires et n’occupera donc pas d’espace sur votre montre. A résultat d’affichage égale, on a une application qui a de grandes chances d’être rapidement mise à jour sous Android Wear et surtout une consommation bien plus faible.

Android Wear

Second point, le prix des engins. Alors que le LG G-Watch est attendue au mois de juillet pour environ 300$, soit le même prix que la montre Samsung Gear 2, ce n’est que le début de l’offre Android Wear qui devrait s’étoffer de mois en mois avec des modèles d’autres marques plus accessibles proposant les mêmes fonctionnalités au travers de votre smartphone. Ce premier facteur étant à associer avec l’approche de Samsung qui oblige à utiliser ses montres avec des smartphones de sa marque et uniquement les derniers modèles de la gamme.

Hier on pouvait trouver des Samsung Galaxy Gear à 9.90€ sur le net après remboursement de l’ODR Samsung de 100€, un prix qui annonce la sortie imminente de la nouvelle montre du Coréen. je ne donne pas longtemps pour que celui-ci réagisse et propose une Gear 3 sous Android Wear dès que les concurrentes seront là.

Pour en savoir pus sur Android Wear.


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18 commentaires sur ce sujet.
  • 10 avril 2014 - 10 h 23 min

    2 Approches radicalement opposées c’est certain, le système Samsung à l’énorme avantage d’être justement autonome, pour un sportif cela peut faire la différence.
    La gear fit par ailleurs me semble être le véritable produit sur lequel samsung communique en ce moment (et il est diablement sexy). Le gros frein pour moi, reste la compatibilité restreinte aux terminaux Samsung haut de gamme.

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  • 10 avril 2014 - 10 h 45 min

    @Alex: Oui mais quel interet d’avoir une montre connectée autonome qui ne peut pas communiquer avec un réseau externe ? Autant avoir une montre avec cardio pour un sportif non ?

    Le Fit répond à d’autres besoins apr contre, tu as raison.

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  • 10 avril 2014 - 11 h 39 min

    Bonjour à tous
    petite question:
    Qui peut le plus peut le moins non?
    il pourrait y avoir certaines applis qui seraient stockées sur le smartphone et enverraient l’info à la montre samsung. Maintenant les applis propres à la montre (prendre des photos ecouter la musique etc…) doivent être stockées sur la montre donc trés optimisées par Tizen.
    Pour moi c’est jouable, le seul soucis c’est l’autonomie

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  • 10 avril 2014 - 11 h 57 min

    @talex: Mais qui va développer pour Tizen ? D’un c^ôté tu va avoir XXX marques sous Android Wear et de l’autre 1 montre Samsung sous Tizen compatible uniquement avec des smartphones haut de gamme Samsung. Je suis pas sur que les développeurs sepenchent sur le berceau de la Gear…

    Avec un bout de code a inclure pour pousser de l’info vers Android Wear, les dev Android classique vont faire comme pour la chromecast, une maj de quelques dizaines de Ko qui permettra de rendre leur appli compatible avec xx montres de xx marques, indépendamment du smartphone employé.

    Quand a l’autonomie, si il faut propulser un proc 1GHz pour faire ce que peut faire une puce basique sous cadencée au minimum pour afficher des résultats prémachés par 1 processeur low-power sur le smartphone, cela va être le jour et la nuit niveau durée de vie des batteries.

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  • 10 avril 2014 - 12 h 12 min

    Mode Madame Soleil (on):
    Je vois dans ma boule une future mise a jour pour la samsung gear 2, une extension pour tizen…je vois…
    Oh oui la belle extension qui ajoute la compatibilité avec l’API google watch !!!
    Et le tour est joué pour Samsung, un petit peu de code et c’est reparti comme en 40 ( en se tirant une balle dans le pied pour Tizen lol)
    Mode madame Soleil (off)….

    Sans rire, c’est jouable, il leur restera a bosser sur des développement exclusif en parrallèle pour justifer leur Tizen et la faible autonomie.

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  • 10 avril 2014 - 12 h 14 min

    Je m’étonne de voir Samsung insister sur les montres connectés, la première génération ayant fait un bide total!
    Je sait que tous les acteurs des nouvelles technologies n’ont plus d’yeux que pour les objets connectés, mais il faut savoir se faire une raison et voir quels sont les objets qui marchent et ceux qui serons sur le carreau.
    Pour moi la montre connecté n’ pas d’intérêt, peu d’application et peu de retombé positives intéressantes.
    Et puis je vois de moins en moins de personnes avec une montre, connecté ou pas!

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  • 10 avril 2014 - 12 h 19 min

    Par contre ils les sortent avec des technoliges d’affichage passive ou pas?
    parce que bon l’evolution génée par les reflets et le soleil depuis plus de 20ans alors qu’ils rachetent des technologies d’affichage passif et que la taille de l’ecran permet ici une mise en avant évidente…
    En plus ca permettrait une batterie beaucoup plus econome…
    on pourrait meme imaginer un affichage transflectif qui lorsque la lumiere le traverse fini sa course dans un mini panneau solaire qui recharge la batterie en permanence…

    Plus réalisable et plus efficace encore, un bracelet fait en technologie capable de récupérer l’énergie comme un panneau solaire souple, recharge permanente assurée et sans doute suffisante pour une G-Watch avec un affichage passif dont la conso serait reduite avec un faible cpu et cet affichage econome.
    Pour les lieux sombre, un simple reveil de la led par glissage sur l’ecran a la vertical, à l’horizontal pour un reveil en mode passif…
    Quitte à nous vendre ces objets hors de prix, ils pourraient les faire réellement innovant… :(

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  • 10 avril 2014 - 16 h 00 min

    Bonjour.

    Bizarrement ici au canada on nous avait dit la sortie le la Gear 2 sortirais le 11 avril en précommande et bien hier on ma reculer au 22 avril.
    Il on tu déjà un problème?

    Merci

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  • 10 avril 2014 - 19 h 18 min

    L’autonomie de la montre avec Android Wear va peut-être augmenter mais l’autonomie du smartphone qui va prendre en charge les applis Android Wear va elle chuter, et pas qu’un peu à mon avis! L’énergie, il faut bien la prendre quelque part. Donc la vision Android Wear n’est pas exempte de problèmes non plus.

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  • 10 avril 2014 - 19 h 56 min

    @Bertrand: Bof, il suffit d’un Push Bluetooth léger, il suffit de savoir ce qu’on veut comme notif :) Si on veut un truc temps réel ou un truc mis à jour toutes les demie heures ou toutes les heures

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  • 10 avril 2014 - 20 h 38 min

    @Pierre: mouais, pas vraiment convaincu par ta réponse.
    Pour ajouter de l’eau à mon moulin, le test effectué ce jour par Clubic du UP24 de Jawbone. L’impact d’utilisation du BLE a un impact significatif sur la batterie du smartphone:
    http://www.clubic.com/mobilite-et-telephonie/objets-connectes/quantified-self/article-693192-1-jawbone-up24.html

    « On en vient au premier souci : si Jawbone a résolu le problème d’autonomie grâce au Bluetooth Low Energy – le bracelet tient facilement la charge durant une semaine – il en est tout autre pour le smartphone auquel il est appairé. L’activation permanente du Bluetooth sur un terminal fait baisser la jauge de batterie plus rapidement. Logique. Heureusement, en cas de coup dur, il est possible de désactiver le Bluetooth et de le réactiver plus tard dans la journée : l’application se charge alors de récupérer les informations stockées pendant ce laps de temps par le bracelet. »

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  • 10 avril 2014 - 21 h 55 min

    @Bertrand: Ouais mais ca n’a rien a voir avec Android Wear ?

    Je veux dire que si le smartphone réagit avec des apps dédiées qui font : Toutes les heures, demies heures ou 10′ : « je check si il y a une maj a faire sur les apps compatibles wear puis je réveille le BT envoie les notifications et éteint le BT », ben l’impact sera différent.

    Le test du Jawbone est clair : « en effet, le Jawbone UP24, contrairement au modèle UP précédent, se connecte en permanence au smartphone via le Bluetooth pour mettre à jour les performances quotidiennes de son porteur. » c’est à dire l’inverse d’un réglage fin des ressources proposé par un push d’info. Apres libre a toi de faire en sorte de proposer un push instantané pour des emails, instantané pour des SMS et de faire des push moins réguliers ou plus espacés pour d’autres services (état de serveur, trafic routier ou météo)

    dans tous les cas Android Wear est un système de dialogue et de réception de données, la montre sera connectée en permanence en BTR LE, à l’écoute. Le smartphone n’a pas à l’être de son côté.

    Répondre
  • 10 avril 2014 - 21 h 59 min

    Je comprends peut être mal ta dernière phrase, car pour moi c’est un non-sens total. « La montre sera connectée en permanence en BTR LE, à l’écoute. Le smartphone n’a pas à l’être de son côté. » Si le téléphone a son BLE éteint, à quoi la montre va-t’elle être connectée en permanence?

    Répondre
  • 10 avril 2014 - 22 h 18 min

    @Bertrand: A rien mais le Bluetooth Low Energy ne consomme rien… Du coup elle attend passivement, elle écoute. Apres il y a surement moyen de synchroniser une émission et une réception d’infos a périodes variables mais comme un smartphone écoute le réseau en attendant un SMS ou un appel, la montre peut écouter en BT LE un push du smartphone.

    Le BT LE : c’est 6mA en usage de pointe et moins de 100 nA en veille… J’en ai pas eu en main beaucoup des produits B LE mais la Parrot Flower Power tiens par exemple 5 à 6 mois en BT LE permanent avec 1 seule pile AAA.

    Répondre
  • 10 avril 2014 - 23 h 27 min

    @Pierre: je pense que l’alternance active/standby existe déjà dans les devices BTLE d’aujourd’hui (pour ne pas dire que j’en suis sûr), c’est une pratique très courante dans l’électronique lorsque l’on veut gagner en conso.

    Et quand tu me demandes le lien avec Android Wear, ton article semble présenter l’option smartphone actif+ montre Android Wear (~passive qui sert juste à streamer l’affichage à partir du smartphone) comme bien meilleure à la solution Samsung qui est Smartphone actif + montre active, sans même avoir vu un device sous Android Wear. Je trouve juste cette conclusion un peu hâtive.

    Répondre
  • 11 avril 2014 - 0 h 19 min

    @Bertrand: Ben il me semble que c’est mieux pour plusieurs raisons :

    Ca consomme moins en étant passif qu’en etant actif.
    Ca demande moins de ressources dans la montre et permet des designs interessants
    Ca n’oblige probablement pas a une recharge quotidienne comme la Gear 1
    Ca facilite l’intégration des apps et donc l’universalité du support.
    Ca n’enferme pas la montre dans un dialogue avec une selection de modèles de smartphones très spécifiquement choisis pour des raisons commerciales et no pas techniques.

    Il y a évidemment des désavantages :
    Pas d’autonomie de calcul au cas ou une apps puisse en tirer parti
    Pas possible de faire de photos avec la montre par exemple puisque même si il y avait une camera, il n’y a pas a priori de puce pour gérer les images.

    Je pense que c’est une meilleure solution pour le marché de penser comme l’a fait google avec la chromecast, un périphérique passif qui sert a afficher ce que des apps pilotées par des gros CPU et de grosses batteries ont calculé pour lui, oui.

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  • 11 avril 2014 - 17 h 40 min

    Je suis un lecteur de longue date et j’apprécie grandement les papiers.
    Pour avoir suivit les montres connectées de longue date, j’ai l’impression qu’il y quelques erreurs ici.

    Android Wear utilise une plateforme matériel similaire à celle présente dans la Samsung Gear (512M de ram 4G de stockage pour la LG G Watch http://www.androidos.in/2014/03/google-smartwatch-specs-leak/). Je ne sais pas à quoi cela servira, mais ils doivent avoir des idées pour les utiliser. Cela semble similaire à la plateforme des Google Glass (processeur multi code Cortex Ax, pas mal de RAM & Flash).

    A l’autre bout, les montres comme les Pebble ou MetaWatch sont des récepteur de notifications envoyées par un smartphone, et ne font que peut de chose en plus (gestion des boutons avec feedback vers le téléphone, navigation entre les écrans, maintient de l’horloge). Ces produits sont à base de micro contrôleurs (Cortex M3 pour Pebble ou MSP430 de TI pour Metawatch) avec peu de mémoire, mais une autonomie de plusieurs jours (en général la semaine) dans un format similaire à n’importe quelle montre normale.

    J’espère que Samsung a un plan de migration/support des Gear 1 et 2 avec l’arrivé de Android Wear. Il peut s’agir d’une mise à jour pour passer les montres directement à Android Gear, ou un système de réception des notifications Android Gear sur leur version d’OS.

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  • 15 mai 2014 - 11 h 06 min

    […] changement de système entre les Galaxy Gear et les nouvelles Gear 2 et Gear 2 Neo ne donnait pas bon espoir d’une poursuite du développement des applications des montres […]

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