Encore une fois, il s’agit d’un concept, je ne sais même pas si le Compal Flex G a une chance d’exister réellement. Si l’idée est originale, elle est surtout très farfelue dans son approche.
Le Compal Flex G est donc un projet de console se basant sur un écran pliant sur lequel on peut replier une base permettant de jouer. L’objet propose en réalité trois formats différents. Celui d’une console portable avec deux zones de contrôle proposant une croix directionnelle et les boutons ABXY ainsi que des mini joysticks. Ce format propose alors la moitié de l’écran pour visualiser le jeu exécuté.
Second usage, une tablette avec une sorte de zone tactile située de l’autre côté de la manette qui vient alors se déplier sur le la hauteur de l’objet. L’écran est là deux fois plus grand et l’appendice permet de piloter des applications.
Troisième usage, l’extension sert alors de pied avec toujours cette fonction tactile et un écran situé au dessus, totalement déplié. On se retrouve alors avec une sorte d’écran mobile secondaire pouvant être totalement autonome.
Difficile de voir en ce Compal Flex G autre chose qu’un délire de designer car si l’objet propose trois formules, il semble toutes les réaliser assez mal. La partie console offre des contrôles catastrophiques avec une ergonomie pas du tout adaptée aux jeux. L’écart entre les boutons ABXY ou la proposition des mini joysticks me fait mal aux mains rien qu’à les regarder. Le mode tablette est à la fois encombrant et n’apporte pas grand chose et je ne donne pas cher de la résistance du mode écran aux chutes avec le basculement évident proposé par la troisième formule…
Et cela sans compter le tarif de l’engin puisqu’on embarquerait à la fois une machine ultrafine et une technologie d’écran pliant.
2,5€ par mois | 5€ par mois | 10€ par mois | Le montant de votre choix |
On dit « à clapet » monsieur Lecourt, la 3ds est « une console à clapet » !