Les ex-équipes de Sony VAIO reprises dans l’entité autonome VAIO n’ont plus la même aura que du temps de la splendeur de Sony mais elles ne chôment pas pour autant. Lancée en 2018 au Japon, la solution VAIO A12 est une tablette hybride qui se docke sur un support clavier et qui propose une diagonale de 12.5″. Un engin à la fois performant et autonome.
La VAIO A12 se compose d’un dock à la connectique très solide, c’est ce qui démarque l’engin du reste du marché, et d’une tablette 12.5″ en 1920 x 1080 pixels IPS tactile plus standard. Lancée en Europe à 2299€, elle reste néanmoins un des engins les plus chers sur ce format.
La partie tablette en elle même pèse 600 grammes et une fois reliée à son dock, l’engin complet monte à 1.22 Kg. Ce poids s’explique par un châssis en alliage de magnésium et une batterie 38 Wh dans la tablette secondée par une seconde batterie relais dans le dock.
A l’intérieur de la partie tablette, on pourra choisir entre plusieurs processeurs : Un Core i5-8200Y accompagné de 8 Go de mémoire en double canal et 256 Go de SSD PCIe NVMe pour la machine de base et un Core i7-8500Y avec 16 Go de mémoire vive toujours en double canal, cette fois ci épaulé par un stockage de 512 Go toujours en NVMe. Des solutions qui, sous Windows 10, devraient offrir de très bonnes performances.
La VAIO A12 offrira une endurance maximale de 8 heures en mode tablette seule qui pourra passer à 15 heures avec son clavier-dock. Bien entendu, la marque ne précise pas les conditions de cette autonomie et il faudra prendre ces chiffres avec les pincettes habituelles.
Ce qui différencie l’engin du reste du marché est lié aux fonctionnalités annexes, la présence d’un stylet actif par exemple. Mais aussi un modem 4G intégré, et surtout une très large connectique. La partie tablette embarque un port USB type-C, un jack 3.5 mm combinant entrée casque et sortie audio, un lecteur de cartes SIM et un lecteur d’empreintes digitales pour piloter Windows Hello. Deux cameras sont embarquées avec une 8 mégapixels au dos et une 2 mégapixels en façade.
Le clavier/dock propose, quant à lui, trois ports USB, des sorties vidéo HDMI et VGA, un port Ethernet Gigabit et un lecteur de cartes SDXC. De quoi piloter pas mal de scénarios en entreprise. Rétro éclairé, avec des fonctions de déploiement de charnière avancées et un large pavé tactile, ce dernier semble très confortable. Aucune info concernant une disponibilité avec un clavier en Azerty pour le moment.
Autre différence appréciable, la tablette positionnée sur un bureau séparée de son dock clavier peuvent assurer un contact sans fil. Non pas au niveau de sa connectique mais pour de la saisie. Cela peut permettre un travail collaboratif plus aisé.
Source : Winfuture
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J’en ai croisé quelques un à Tokyo, un utilisé par un commercial, et en démo dans une obscure échope à Akihabara en décembre ou janvier je crois. Si on ne m’avait pas dit que ce n’est plus Sony, je ne m’en serai pas douté. La qualité de fabrication est bonne, et pour le peu que j’ai vu tourner la bécane du commercial, ça avait l’air assez fluide et réactif sur un gros PPT plein d’images et de mini videos. Par contre je ne sais pas quelle config il avait. En revanche il me semble que c’est pas donné comme bécane, dans les 1000-1100€ la config de base je crois.
@Neuro: Au Japon il y a des configs plus légères avec Celeron + 4 /125 Go. Mais ça ne sera pas dispo en Europe.
mon dieu ce prix hallucinant, plus cher qu’une surface… Sinon il y a les Chinois, Voyo à 670€ pour le même équipement.
https://fr.banggood.com/Wholesale-Windows-Tablet-c-1835.html
super sympa le concept de saisie sans que l’écran soit connecté.
Rien que pour ça je pourrais acheter ;)
dommage d’être resté à du format 16:9 pour des raisons de coût de la dalle car ça fait beaucoup d’espace perdu au final pour l’utilisateur sur un aussi petit engin.
En plus en mode portrait c’est forcément bof bof