Le 13 novembre 2012
12 commentaires
Une vidéo promo du Chromebook C7
Une première vidéo du Chromebook C7 signé Google et Acer. Le concept de l’engin dans les nuages est ici détaillé pour le meilleur et pour le meilleur : La vie dans le nuages selon Google est mise en avant alors que l’engin qui le porte est clairement relégué au second rang.
Le débat sur le « cloud » et les données partagés dont on ne maitrise pas les sources est lancé, bien mais me concernant a utiliser avec parcimonie; quid des données d’entreprises sur ces systèmes …
Me concernant je pense que le compromis est l’utilisation des deux mondes en permettant ainsi de maitriser ce que l’on partage donc le « cloud » ou nuage pour les français pourquoi pas mais en ayant toujours le choix de garder ces données localement et ne pas supprimer cette possibilité.
@Bug69:
Je suis d’accord avec toi sur le principe, sauf que le choix on l’a de moins en moins.
C’est vrai pour la musique (iTunes), les films (Netflix et autres fournisseurs de contenu à la demande), bientot les docs et les livres…
Le concept meme de ce ChromeBook c’est de vendre du Cloud, pas un laptop comme le montre cette pub.
Et je suis d’accord avec Pierre, ça va finir que l’on ne possèdera plus rien, on aura simplement un droit de consultation pour le contenu que l’on ne produit pas nous memes et un droit d’usage sur celui que l’on produit.
Aujourd’hui, tu n’as déjà pas le droit de partager/donner une oeuvre que tu as pourtant payé. On nous fait croire que c’est du vol (alors que personne n’a été dépossédé de son bien, ce qui est la définition du vol) ou du piratage (qui n’en est QUE parce qu’une loi interdit le partage).
Au niveau de l’entreprise, il devrait y avoir un service de cloud mais controlé par l’entreprise sur des serveurs internes. La sous-traitance devrait etre bannie.
J’attends de voir l’impact de ce disque dur sur les performances.
@Bug69: Pour les entreprises le cloud n’est pas gratuit et la confidentialité des données est « garantie » dans le contrat si mes souvenirs sont bons quand j’avais regardé du coté de google apps for business.
Pouvoir garder les données en locales c’est aussi pouvoir travailler en offline
PS:
Mes parents, c’étaient des pirates/voleurs sans le savoir.
Quand ils étaient jeunes et comme ils avaient peu d’argent, ils enregistraient les chansons qui passaient à la radio sur cassette et se faisaient leur propre compils…
Aujourd’huo, tu peux aller en prison pour, en gros, la meme chose.
Ca doit etre le progrès.
@Mat:
Les sociétés qui vendent de l’espace de stockage dans le « cloud » sont les banques de demain. Et, crois moi, tes données elles vont les faire fructifier comme les banques se servent de ton argent.
Leur source de revenu principale ne sera plus le service qu’elles te rendent en stockant, protégeant tes données mais en revendant l’info qu’elles contiennent. Et ce sera légal.
Comme l’est pour les banques aujourd’hui de se servir de ton argent et le placer pour leur propre compte.
Ta propriété intellectuelle n’a pas plus de valeur que ta propriété financière. Donc, si des sociétés se servent de ton argent légalement aujourd’hui, d’autres se serviront légalement de tes données demain.
C’est pour cela qu’il ne faut pas foncer tête bêche dans ce système je suis peux être utopiste mais je pense que rien n’est définitif il suffit de refuser ces systèmes ou l’on ne contrôle plus rien et ou la liberté individuelle n’a que très peux de valeur !
comme le disais A nos parents était tous des « voleurs » seul l’outil a évolué mais l’acte est le même il faut donc bien réfléchir avant ce cautionner ces systèmes ou seule l’argent décide à votre place.
@A: pertinent.
certain cloud sont crypté et seul le client à la clé… une société à montréal offre ce service…
ensuite il y a ownCloud qui est disponible chez différent prestataire de service, sans compté qu’il est possible de l’utiliser pour faire son propre cloud….
@A : je pourrais être ton père et je te le dis mon fiston : tu peux encore écouter la radio, faire des enregistrements et les passer en soirée ou en filer à tes copains !
Je pense surtout que les consommateurs de média actuels (facilité d’accès et satisfaction immédiate des produits) ont les vendeurs qu’ils méritent …
@Minto:
Passons sur le « je pourrais etre to père, fiston ». Ca te valorise pas plus que ça et tu ne connais pas mon age. Bref.
Mais ce que tu dis est faux.
Le streaming est toléré pour l’instant, mais dès que tu crées et conserve une copie sur un support de stockage, quel qu’il soit, cela devient illégal et tu es un pirate.
Tu ne peux pas partager non plus, ça s’appelle le peer to peer et c’est illégal si le fichier (chanson, film, livre…) que tu partages dispose d’un copyright.
Pour ta dernière phrase, c’est un peu vrai mais ça a toujours été le cas et n’a rien à voir avec la discussion sur les nouvelles définitions de propriété, de vol, de piratage, de partage dans un monde numérique (et non plus seulement analogique) controlé par les sociétés.
@A : « Au niveau de l’entreprise, il devrait y avoir un service de cloud mais controlé par l’entreprise sur des serveurs internes. La sous-traitance devrait etre bannie »
Non le principe du cloud en entreprise est le SaaS (Software as a Service).
Une entreprise dont l’activité n’est pas de vendre de l’informatique n’a pas vocation à avoir des compétences informatiques en interne, ce n’est pas son métier, des prestataires le font mieux qu’elle pour moins cher.
L’informatique moderne est juste un outil, plus aucune entreprise n’a des chauffagistes en interne, ce service est externalisé, pour un logiciel de compta, de gestion des mails ou de simple bureautique c’est la même chose.
Google, Microsoft offrent des solutions très bon marché pour des entreprises qui n’ont plus à gérer de parc logiciel et avec des chromebooks de parc matériel, quand un tombe en panne, il est remplacé immédiatement, l’utilisateur peut recommencer à travailler en quelques minutes.
Bien sur il y a la sécurité, mais ces services (goggle apps, office 365) sont accompagnés de clauses pour ça.
Seules des données précieuses au coeur du métier doivent être gérées de façon privée avec des serveurs en interne, le reste non.
@A « Mes parents, c’étaient des pirates/voleurs …, ils enregistraient les chansons qui passaient à la radio sur cassette… »
Dans le prix des cassettes vierges, il y avait une partie qui était reversée aux ayant-droits au titre de la copie privée.