Lancés outre Atlantique, ces nouveaux Chromebooks Acer seront un peu mieux équipés, en particulier au nibveau de leur batterie qui sera plus conséquente avec 6 heures d’autonomie annoncées. Ils seront également équipés de SSD 16 Go au lieu d’un disque dur mécanique classique pour être plus rapides à démarrer.
Divisés en 2 modèles les Acer C710-2826 auront 2 Go de mémoire vive tandis que le Acer C710-2815 grimpera quand à lui à 4 Go de DDR3. Ces amélioration se traduiront par une augmentation des tarifs. L’Acer C7 de base coûte 219$ aux US en version Wifi avec 320 Go de stockage mécanique et 4 Go de mémoire vive. L’écran reste un 11.6″ 1366 x 768 brillant. Ce tarif très bas en fait un excellent engin de consultation et de travail, engin à succès puisqu’il se classe parmi les meilleures ventes en ligne depuis des mois.
Pour une entreprise ou une école, acheter ce type de poste permet d’avoir des engins de consultation, de saisie ou de réunion à faible coût : La maintenance peut être facilitée par le fait de n’avoir aucune possibilité d’installer aucun programme traditionnel sur la machine. Pas de possibilité non plus d’y voir apparaître un virus. Seules des applications web sont exploitables.
Acer met l’accent sur ce point, les administrateurs d’un parc de Chromebooks pourront sécuriser, gérer et maintenir leurs machines a distance du moment que celles-ci gardent leur connexion ouverte. Le système quand à lui se met à jour automatiquement par l’intermédiaire de ChromeOS.
Reste la question qui nous taraude tous, comment faire confiance à Google et ChromeOS aujourd’hui dans un parc d’entreprise après les récentes révélation d’écoute des données circulant sur le web via PRISM ? Sacrifier les euros nécessaires à l’obtention d’un engin moins dépendant du web et payer un systeme de gestion totalement indépendant semble avoir du sens si on veut être absolument certain de ne pas être écouté par le réseau dans une entreprise.
Source : Slashgear
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Au niveau de l’entreprise, je ne vois pas trop ou est le plus question sécurité.
Il y a du stockage sur la machine, donc des données qui peuvent être volées et une stratégie de sauvegarde à mettre en place.
Rien ne peut empêcher d’y stocker un malware qui s’exécutera à la 1ere connexion vu qu’il n’y a pas d’antivirus si j’ai bien compris.
Pour moi, rien ne vaut le client léger fixe ou portable :
– pas de stockage en local ;
– pas d’OS à mettre à jour.
Le jour ou ça ne marche pas, il suffit de refaire l’image, soit à partir du réseau, soit à partir d’une clef USB. Si ça repart, le problème était logiciel. Si ça ne repart pas, le problème est au niveau d’un composant donc poubelle.
@PJL: Il n’y a pas de plus niveau sécurité. Si ce n’est que l’on peut swapper le système à chaque utilisation, qu’il n’y a pas de virus sur le Chrome Store et que la gestion est facile à distance.
Google va essayer de noyer le marché des portables à bas prix en proposant du stockage en ligne sur leurs serveurs avec ce genre de machines.
Au niveau confidentialité et sécurité, le pire est donc à venir. Ce business modèle rendra les utilisateurs captifs et à la merci de Google : images, données personnelles, photos… tout sera centralisé chez une seule et unique entreprise commerciale.
C’est, d’après moi, le cauchemar qui se prépare lentement mais surement avec la puissance financière et marketing de Google.
Google en entreprise, ça tient de la farce quand même, et à l’école après les menaces ouvertement scandaleuses de déréférencement des sites français (ce qu’on peut aussi apppeler du cyber-terrorisme), il n’y a que le grand tout mou à en être capable !
c’est quand même marrant.
depuis le début des années 80, tout le monde à voulu son ordinateur perso pour faire tout un tas de choses perso et surtout personne ne voulait plus de terminal esclave des serveurs centralisés (même le minitel marchait comme ça) et alors chacun pouvait avoir ses propres photos, son propre serveur web, sa propre messagerie, et l’information etait dupliquée sur tous ces pc ou serveurs différents, et puis depuis quelques années, on cherche à nous faire croire que c’est mieux que tout soit dans les nuages et que l’utilisateur n’a besoin que d’une prise de courant et d’une connexion réseau
que se passe t’il si on décide que ce programme ou cette information sont dérangeants ?
on supprime, puisqu’il n’y a qu’une source contrôlée par une seule entreprise.
et comme de plus en plus on confie nos vies (fiche de paie stockées, photos, vidéo, informations, itinéraires, documents, calendriers, contacts, etc.) si on coupe le robinet, ça va faire mal
enfin moi ce que j’en dit… :-)
@eugène : remarque pleine de bon sens mais à contre courant, 100% d’accord. Effectivement c’est une prise de pouvoir lente et en douceur. Gardez vos fiches de paye papier à l’abri !