Si vous arrivez sur cette page sans avoir lu la première partie de ce guide, il est encore temps de le faire. L’idée globale du projet y est décrite ainsi que les divers éléments nécessaires à sa mise en route tant au point de vue matériel que logiciel .Commencer ce guide à partir de cette page est possible mais sera plus ardue.
Donc, si vous avez bien suivi les étapes de la première partie vous avez une Raspberry Pi prête à l’emploi, sous Raspbian et vous y êtes connectés à un réseau local via un câble, et ce réseau lui même connecté à Internet. La clé Wifi n’est pas encore en place. Sur le même réseau une autre machine a ouvert une session SSH sur la Pi pour plus de commodité. (Si vous n’avez rien compris à cette phrase, il faut vraiment aller lire la première partie du guide).
Sous Putty ou quelque soit votre logiciel SSH, vous allez pouvoir piloter la carte pour installer les divers composants nécessaires à cette PirateBox. Cela se passe en ligne de commandes mais il n’y a rien de véritablement sorcier.
Première étape, mettre à jour le logiciel. Parce qu’on a beau venir de le télécharger, il est possible que toutes les dernières mises à jour ne fassent pas partie de cette archive. On va donc pianoter ceci dans notre console :
sudo apt-get update
Puis appuyez sur Entrée.
Sudo est un programme qui va nous servir à exécuter un ordre donné à la machine. Ici on lance apt-get qui est le programme de gestion de paquets de Debian. Le gestionnaire de paquets étant en quelque sorte le programme qui installe et met à jour les divers éléments du système. Apt-get se charge non seulement de trouver tout seul les ressources nécessaires à cette tâche sur Internet mais il exécute ensuite les divers ordres de décompression et de mise en place. C’est, en quelque sorte, la tour de contrôle des téléchargements de la machine : Il va chercher les paquets et leur dit où venir se garer dans votre système. Update est plutôt simple à comprendre, c’est la mise à jour automatique gérée par apt-get, il vérifie la version locale des divers éléments du système et les compare à celles en référence disponibles en ligne. S’il y en a une nouvelle, il la télécharge et la remplace.
Cette commande effectuée, nous allons en profiter pour apprendre 2 ou 3 trucs sur le terminal.
Pianotez simplement sud et appuyez sur TAB. Normalement l’ordre sudo est apparu. Pianotez ensuite un espace et apt-g puis à nouveau TAB. Vous l’aurez compris, la touche TAB termine les instructions identifiées par le système, cela permet d’éviter des frappes inutiles.
Autre truc si vous utilisez Putty, vous pouvez faire un copié-collé dans l’interface en faisant un clic droit sur la souris. Cela devrait largement faciliter le travail suivant.
Votre Update devrait être terminé et nous allons donc passer à la suite.
Pianotez ensuite, ligne par ligne, avec un appui sur entrée à la fin de chaque ligne, les instructions suivantes :
sudo apt-get -y install lighttpd sudo /etc/init.d/lighttpd stop sudo update-rc.d lighttpd remove
Nous venons là d’installer lighttpd, un serveur web, sur la distribution Raspbian.
sudo apt-get -y install dnsmasq sudo /etc/init.d/dnsmasq stop sudo update-rc.d dnsmasq remove
Ici, il s’agit de dnsmasq, le serveur qui fournira la gestion des DNS à votre PirateBox.
sudo apt-get -y install hostapd sudo /etc/init.d/hostapd stop sudo update-rc.d hostapd remove
Enfin, nous installons Hostapd qui gérera le point d’accès Wifi de la Piratebox.
sudo apt-get -y install iw
Iw est un utilitaire de configuration Wifi dont le système à besoin pour fonctionner.
Nous pouvons maintenant télécharger le script de la PirateBox lui même. Il s’agit d’une copie du fichier stocké sur un FTP Free.
wget "http://psx2pc.free.Fr/piratebox/piratebox-ws_current.tar.gz"
Puis le décompresser
tar xzf piratebox-ws_current.tar.gz
Il faut ensuite aller dans le répertoire nouvellement créé et installer le script.
cd piratebox sudo mkdir -p /opt sudo cp -rv piratebox /opt sudo ln -s /opt/piratebox/init.d/piratebox /etc/init.d/piratebox sudo update-rc.d piratebox defaults sudo /etc/init.d/piratebox start
Une erreur ! Pas de panique, c’est normal, on vient de demander à la machine de lancer la PirateBox dont le script exploite une clé Wifi qui n’est pas connectée à la Raspberry Pi. Normal que le script ne se déroule donc pas correctement.
Voilà, votre PirateBox est fonctionnelle. Au prochain redémarrage elle lancera le script si la carte USB est installée et vous pourrez la voir dans les réseaux Wifi disponibles avec votre smartphone et votre tablette. Pour arrêter proprement la Raspberry on va pianoter
sudo halt
Les leds de la tablette clignotent avant de ne plus laisser que la rouge, signalant qu’elle est toujours sous tension.
Aparté optionnel
Et là, on touche du doigt un problème lié à notre petite solution Rasberry Pi. La PirateBox est dépourvue d’écran et de clavier dans son fonctionnement habituel. Difficile donc de la stopper proprement en pianotant un ordre. On peut y remédier physiquement grâce aux GPIO de la carte qui permettent d’interagir avec elle. Cette étape est totalement optionnelle et demande un matériel qui ne se trouvera pas chez tout le monde. C’est néanmoins uns solution facile à monter et assez aisée à installer, vous pourrez la réaliser plus tard et je vais donc rapidement décrire ici. Pour ce montage, vous aurez besoin d’un bouton poussoir, de quelques connecteurs mâles pour se brancher aux pins de la carte Raspberry Pi et de 2 résistances. L’une en 330Ω, l’autre en 10 kΩ.
Connectez les éléments comme ci dessus, soit avec une carte de montage de type breadboard, soit en les soudant ensemble.
L’interrupteur (1) est connecté sur une patte vers un pin terre (GND) de la Raspberry Pi (2) d’un côté. De l’autre, il se connecte au pin 3.3V (4) de la carte avec une résistance 10KΩ (4) mais également au pin 25 de la Pi (6) avec une résistance 330Ω (5). Ce petit montage peut être fait facilement en soudant directement les résistances à même les câbles et une fois protégé par de la gaine rétractable, cela ne prendra guère de place.
Il faut ensuite allumer la Raspberry Pi à nouveau et retourner sur une session SSH. De là, on va télécharger un petit script Python permettant de réagir à la pression du bouton. On tape :
wget "http://iot-projects.com/data/uploads/files/RPi_h_r.py"
Puis entrée. Un fichier de quelques octets est téléchargé. On pianote ensuite un ordre pour exploiter l’éditeur de texte nano afin qu’il ouvre le fichier rc.local qui exécutera ce petit script en tâche de fond au démarrage de la Raspberry Pi.
sudo nano /etc/rc.local
Dans l’éditeur, on descend avec les touches fléchées jusqu’à la ligne exit 0.
Juste au dessus, on colle la ligne suivante :
sudo python /home/pi/RPi_h_r.py &
Cela exécutera le script de contrôle au bouton à chaque démarrage. On sauvegarde avec Ctrl + X sur le clavier. On valide les changements avec un O sur le clavier. Puis « entrée » pour valider le nom et l’arborescence du fichier. C’est fait. Désormais une pression courte sur le bouton redémarrera la Pi tandis qu’une pression longue la fera s’éteindre comme si on avait pianoté notre fameux ordre halt.
Vous trouverez des cartes de type Breadboard et des câbles compatibles sur Amazon dans diverses variantes en suivant ce lien. Quant aux résistances, vous trouverez des kits très complet de plusieurs centaines de pièces pour moins de 10€ sur Amazon comme celui-ci.
On débranche alors le câble MicroUSB puis ensuite le câble Ethernet. Il suffit alors de connecter la clé USB Wifi et de rebrancher une source d’alimentation pour voir la PirateBox se mettre en marche depuis n’importe quelle machine ayant un Wifi activé.
Pour vérifier que tout fonctionne, vous pouvez prendre une tablette et vous connecter au réseau PirateBox – Share Freely et tenter d’uploader une image par exemple. En cliquant sur le menu files, vous devriez le voir apparaître et pouvoir l’afficher ou le télécharger.
Dans la prochaine partie, nous allons voir comment améliorer l’esthétique de cette PirateBox. Puisque je suppose que pour un usage professionnel du système, peu seront enclins à recueillir des données d’une page web qui arbore une tête de mort.
Pour lire les autres parties de ce guide :
2,5€ par mois | 5€ par mois | 10€ par mois | Le montant de votre choix |
[…] La seconde partie de ce guide est disponible. […]
Merci pour cette 2ème partie mais il semble que le lien :
http://psx2pc.free.Fr/piratebox/piratebox-ws_current.tar.gz
renvoit une erreur 404 :(
@Laurent
Pas de mon coté :) téléchargement possible… sans probleme
En effet, merci Thierry, je viens de réessayer at aucun problème !
Petite question :
Peut-on étendre l’espace disponible sur un disque dur externe pour ne pas se limiter à la capacité de la carte mémoire ?
Merci pour d’éventuelles réponses
A noter que: l’erreur de la ligne No 57 [[: not found » au début du lancement du script peut être évitée en remplaçant les doubles « [[ ]] » par des simple « [ ] »
-> if [[ -f $PIRATEBOX/conf/init_done ]] ; then
par
-> if [ -f $PIRATEBOX/conf/init_done ] ; then
l’utilisation des doubles « [[ ]] » n’etant pas valable pour tout les Shells (zsh, ksh,bash sont OK)
Sinon a chaque lancement, même si la config a déja été faite, il risque de la refaire…
@Laurent @Laurent:
Oui bien sur, via un Disque/Clef USB, si le RaspBerry le suporte, pas de probleme
Par contre il y aura « bien sur » un changement de config a faire.
Je ne connais pas ce script « pirateBox », mais si besoin je peux regarder rapidement pour voir ou faire le changement.
j’attend mon 1er Raspberry (en attente de livraison) pour me lancer dans mes 1ere aventures sur les « MiniMachines » :)
@Laurent:
le changement de dossier (et donc de HD) est prévue dans la config de « PirateBox »
-> dans le fichier /opt/piratebox/conf/piratebox.conf à la ligne « 38 » vous pouvez indiquer un autre point de montage pour un Disque/Clef USB
@Laurent Re-Note, si vous modifiez ce fichier de config, il vous faudra:
– Verifier que votre Disque/Clef USB est bien monté et vérifier que ca correspond a votre changement du fichier de config (vu ci dessus) puis si OK:
– Stopper le script
– Effacer le fichier « /opt/piratebox/conf/init_done
– Relancer le script
Afin qu’il Prenne en compte les changements (création de dossier etc..)
Ou le faire vous même a la mano….
Sous réserve d’autre modif, mais a regarder les scripts il semble que ce soit les seuls changement à faire
@PierreLecourt
une petite remarque vis a vis de l’explication de « apt-get »
la commande « apt-get update » ne fait pas les mises a jours applicatif ou éléments du system.
-> « apt-get update »
Met a jours la LISTE des packages disponibles depuis internet vis a vis de la liste de votre machine. ca concerne uniqument la « bibliotheque » en somme.
-> « apt-get upgrade »
Met à jour les application ou élément du system si de nouvelle version existent, c’est cette commande qui télécharge et procède a l’installation.
Les deux sont en général (toujours :)) utilisé l’un apres l’autre, dans cet ordre.
a moins que la version de « Raspberry » change cette commande (ce qui m’étonnerai quand même fortement)
l’un sans l’autre, et l’autre sans l’un, ne sert pas a grand chose :) pour avoir un système a jour. ils vont de paires
pour éteindre proprement le RPI pas besoin de bouton externe
il faut remplacer:
sudo halt
par :
sudo shutdown -h now
@PierreLecourt
Une alternative au bouton d’arret (electronique) du raspberry est de la faire directement via l’interface Web de la PirateBox (gestion mot de passe possible)
soit pour l’arreter, soit pour la rebooter
l’avantage est de ne pas devoir être devant le boitier et surtout ne pas avoir une application (RPi_h_r.py) à tourner « pour rien » en tache de fond…
une alternative à 0€ ;)
Désolé, je suis en train de remplir les commentaires ;)
promis, j’arrête pour le moment !
@Thierry: Ca complique pas mal la chose de définir des rôles et des mots de passe à mon sens, mais oui c’est une bonne alternative. L’idée est tout de même d’empecher que tata Jeanine appuie sur le mauvais bouton de l’interface ce qui serait problématique et donc de définir des rôles avec tout ce que cela implique comme xplications.
Cela dit si tu veux faire un petit guide pour cela, en commentaire ou a intégrer dans un futur billet pourquoi pas. Je travaille a remodeler l’interface de la page de base justement.
@eugene:
depuis les kernels 2.74, la commande « halt » appelle « shutdown ».
il faut faire un « halt -f » (-f = force) pour provoquer volontairement un arrêt « brutal »
donc de nos jours halt ou shutdown c’est kiff kiff
@Pierre Lecourt
bof… une lecture d’un fichier texte :)
mais je valide l’option Electronique en tant que telle, ça peut servir « ailleurs » aussi :)
hâte de recevoir mon Raspberry, je lis tes articles et ça donne envie de plus en plus de replonger dans l’électronique :)
« Pierre Lecourt: Cela dit si tu veux faire un petit guide pour cela, en commentaire ou a intégrer dans un futur billet pourquoi pas. Je travaille a remodeler l’interface de la page de base justement »
j’y manquerai pas… je vais regarder comment c’est structuré cette pirateBox
@Laurent
Petite question :
Peut-on étendre l’espace disponible sur un disque dur externe pour ne pas se limiter à la capacité de la carte mémoire ?
oui on ajoute d’abord un disque dur ou cle sur USB
puis on regarde dans le fichier syslog comment s’appelle ce nouveau périphérique
sudo tail -f /var/log/syslog
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.644222] [c2] sd 0:0:0:0: [sda] Assuming drive cache: write through
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.659469] [c3] sd 0:0:0:0: [sda] No Caching mode page found
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.664198] [c3] sd 0:0:0:0: [sda] Assuming drive cache: write through
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.672393] [c3] sda: sda1
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.678891] [c3] sd 0:0:0:0: [sda] No Caching mode page found
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.684115] [c3] sd 0:0:0:0: [sda] Assuming drive cache: write through
Feb 27 18:37:42 RPI kernel: [2829833.690113] [c3] sd 0:0:0:0: [sda] Attached SCSI removable disk
ici il s’appelle sda1
on crée un point de montage
sudo mkdir /mnt/macle
on monte la clé sur le point de montage
sudo mount -t vfat /dev/sda1 /mnt/macle
et voila tu peux utiliser ce chemin /mnt/macle pour acceder à ta clé (disque dur)
il faudra donc modifier un peu le script piratebox pour faire pointer vers le nouveau stockage
si on éteint le RPI alors il va perdre ce point de montage
pour qu’il reste permanent, il faut modifier le fichier /etc/fstab en ajoutant la ligne suivante :
/dev/sda1 /mnt/maclef vfat user,noauto 0 0 # clef USB
@Pierre Lecourt:
Bon c’est vite vu…
je vais te faire une option pour ajouter une page « admin » (soumise a un mot de passe qui aurat été enregistré dans le « piratebox.conf » d’origine, ou pas)
sur cette page, on pourra:
– Rebooter ou Stopper le Rpi
– Avoir des infos de base sur le system (place disque etc…)
– ajouter des choses comme gere une « blackListe » d’IP pour par exemple éviter un pollueur etc…
je fait pas ça pour demain, mais je met ca en « ToDo List » pour bientot (une fois mon RPi reçu…)
Promis !
:)
pour savoir si sa carte wifi est compatible point d’acces (avec ou sans « /VLAN »)
sudo iw list | grep -A 3 -B 3 AP/VLAN
pour l’arret/reboot sous linux on utilise init :)
init 0 = halt
init 6 = reboot
init 1 = recovery (single mode)
init 2 3 4 5 = stages de démarrage
Merci à H2L29 pour cette blague sur init, ça faisait longtemps :) bon après c’est plutot trop valable avec les linux récents (systemd). Mais rien que d’imaginer quelqu’un ici retenir init 6 pour reboot, init 0 pour éteindre c’est bien drole :p
sinon ya pas une erreur à propos de sudo? « Sudo est un programme qui va nous servir à exécuter un ordre donné à la machine. » Il manque pas » en tant qu’administrateur »? Sinon madame michou elle va taper sudo devant toutes ses commandes lol
Autre petite faute » résistance 10KΩ (4) » => (3)
Sinon merci comme toujours.
@Ted: les systèmes d’init dont systemd fait partie et utilisent toujours init ;)
oh et sous debian les commandes de sysV fonctionnent toujours
« sudo update-rc.d piratebox defaults » au lieu de « sudo systemctl set-default piratebox.target » et pourtant vu la version c’est bien systemd par défaut
@Pierre Lecourt: si tu met ton script python dans /etc/rc.local par défaut la variable $USER n’est pas définie donc c’est root qui l’exécute les sudo n’ont pas lieu d’être (dans le script non plus normalement)
et si le script fonctionne comme il faut un
sudo cp ~/RPi_h_r.py /usr/local/bin/
et donc
sudo nano /etc/rc.local « python RPi_h_r.py & »
pour ceux qui trouvent qu’il y a trop de manips http://piratebox.cc/raspberry_pi:diy
@H2L29 c’était surtout pour dire que déjà plus personne utilise les commandes init (faut dire ça remonte à quoi 20 ans quand elles étaient seules dispo? sans compter qu’elles sont pas intuitives/faciles à retenir), alors avec systemd à notre époque… les runlevels n’étant plus de simple numero abscons, mais des targets c’est plus parlant. J’ai cru que ton commentaire était une blague du coup
@Ted: Xorg a plus de 2àans aussi, et pourtant on continue de l’utiliser, les commandes systemd sont bien sur un système bien configuré et un utilisateur à l’aise au clavier, les reboot shutdown -hr… now sont déjà plus simples et les init sont à la fois simples et très configurables parfaitement adaptés pour les systèmes embarqués. tant qu’on aura nos bons vieux répertoires /etc/rc*.d/ tout roulera pour le mieux :)
Bonjour ! J’ai un souci, j’ai fais toute la étape sans erreurs mais aucun signe du réseau wifi… J’ai lu les commentaire apparemment personne a eu se soucis. Je ne comprends pas l’histoire de l’erreur à la ligne 57, ni comment la corriger (je suis débutant) ça fait 3 mois que je cherche a faire une piratebox je désespère… Quelqu’un pourrai me guider ou envoyer une copie totale de la SD déjà configuré avec piratebox pour voir si le problème vient de moi ?
@Laluuh: lien dans ce commentaire
il y a cette image en torrent
http://downloads.piratebox.de/ArchLinuxARM-2014.10-PirateBox1.0.2_rpi_1.0.1.img.zip.torrent
Merci pour votre réponse, mais j’ai deja testé cette image sans succès de ma part apres de nombreuse installation il y a toujours une erreur qui me bloque en passant par cette image,
Mais aucune erreur dabs ce tuto, juste aucun réseau wifi,
Mais hier j’ai trouvé la solution je pense ma clé wifi n’a pas de mode AP nécessaire à hostapd.
J’espère que je soucis viens de la
Désolé du double post :
Je suppose que la clé n’a pas le mode AP car lorsque je fais « iw list » il y a écrit un nombre il me semble que c’est le nom d’un drivers suivi de « not found.
Pourtant en « mode bureau » ma clé fonctionne
@Laluuh: ça devrai vous donner les rôles capables de la carte
sudo iw list | grep -A 10 ‘Supported interface modes:’
viens te poser sur le forum si tu veux, sera plus pratique, et pierre fait un super café :P
sinon il vends aussi des clé wifi compatibles :)
@H2L29: Café ?
@Pierre Lecourt: volontier ;)
Bonjour ! J’ai attendu un peu avant de repondre, j’ai acheté une cle wifi compatible supportant le mode AP,
Mais toujours un soucis, pas de reseau détectable en wifi, et quand je fais iw list ca me dit :
pi@raspberrypi ~ $ iw list
nl80211 not found.
Et dans ifconfig elle est detectée et fonctionnelle,
Ma cle est une tl-wn725n, pour l’installer j’ai suivis ce tuto :
http://blog.alexandredubois.com/2014/05/20/installer-la-clef-wifi-tp-link-tl-wn725n-v2-sur-un-raspberrypi-avec-raspbian/
Quelqu’un pourrait me guider j’en n’y comprend vraiment rien :(
Bonjour et merci pour ce tuto.
Je recherche un tuto pour installer ubuntu desktop 14.04 sur le RPI 2.
J’ai trouvé une image pour le RPI2:
http://www.finnie.org/2015/02/16/raspberry-pi-2-update-ubuntu-14-04-image-available/
j’ai copié l’image sur ma carte microSD, j’arrive bien à démarrer en mode « terminal » mais je voudrais lancer ubuntu en mode graphique.
Pour compliquer les choses, le clavier est en qwerty et je ne sais pas comment le passer en azerty
J’ai lancé les commandes suivantes:
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt-get install ubuntu-desktop
J’ai rebooté le RPI 2 mais je suis toujours dans le « terminal »
Pouvez-vous m’aider
Merci d’avance
Samquad
Merci, Pierre, pour ce guide bien détaillé. Tout fonctionne parfaitement.
(bizarre, la moitié de mon commentaire semble avoir disparu)
Hâte de découvrir la suite de ce tuto. Avec la page admin privée ? avec la possibilité de brancher / débrancher « à chaud » des disques usb ? Possibilité d’utiliser un hub usb ?
@Laluuh: l’aide dans les commentaires d’un article c’est juste pas possible pour moi…
le retour « nl80211 not found. » indique que la carte wifi n’est pas reconnue
[…] vous avez suivi les étapes 1 et 2 de ce guide vous avez une carte Raspberry Pi parfaitement fonctionnelle, prête a diffuser des […]
[…] Il y a quelques temps le site minimachines proposait un montage odieux pour lancer un “halt” par l’intermédiaire d’un bouton à connecter sur le port GPIO de la Raspberry Pi. […]
bonjour tous le monde, je viens vers vous car je trouve ce tuto très intéressant pour moi ! mais j’ai un problème lorsque je tape la commande pour démarrer la piratebox, il me marque qu’il a pas réussi a lancer le dnsmasq et du coup je ne capte aucun wifi de la piratebox.
avez-vous déja eu cette erreur ???
c’est bon j’ai régler mon souci !
je croit que le fichier tar.gz ne ce décompresser pas correctement.
[…] En ouvrant la radio, un vieux modèle Belson totalement HS, on découvre un montage ultra-basique autour d’une carte Raspberry Pi B+. On peut y voir plusieurs câbles entrer et partir de celle-ci. A commencer par la partie droite avec en haut le petit bouton destiné à éteindre la carte proprement que l’on a vu dans l’épisode … […]
@corbel: Moi j’ai le même problème mais j’ai pas réussi a le réparer, comment tu as fait pour que ça fonctionne?
Merci d’avance
Bonjour,
Je pense avoir suivi toutes les étapes, mais après avoir branché le dongle avec chipset Ralink RT5370 (celui conseillé), le reboot se termine par :
[OK] Starting hostap…
[…] Setting up wlan:Bringing up wifi interface wlan0
SIOCSIFFLAGS: No such file or directory
.. failed
[FAIL] failed setting up Interface … failed!
Pouvez vous m’aiguiller vers une solution ?
Merci
La solution se trouve ici : http://forum.minimachines.net/Thread-Probl%C3%A8me-SIOCSIFFLAGS-sur-Raspberry-pi-2
Bonjour, je trouve ce tuto très intéressant mais je bloc au moment de démarrer la piratebox, il me met:
Starting dnsmasq… : failed!
est-ce que qqn pourrai m’aider je suis un débutant dans le domaine
bonjour,
J ai le même problème que Gdubol, personne n’a de solution?
merci
Bonjour à tous,
j’ai essayer d’installer la piratebox box avec la clé WIFI présentée au dessus.
je ne vois aucun wifi Piratebox … snif
voici ce que me dis mon Rpi2 au démarrage de piratebox :
pi@raspberrypi:~ $ sudo /etc/init.d/piratebox start
/etc/init.d/piratebox: 57: /etc/init.d/piratebox: [[: not found
Starting initialize PirateBox Part2..
ln: failed to create symbolic link ‘/opt/piratebox/www/board/board’: File exists
ln: failed to create symbolic link ‘/opt/piratebox/www/Shared/Shared’: File exis ts
[….] Starting script piratebox :
Generating hosts file ….
Generating dnsmasq.conf …..
Generating Environment-config for ligttpd …..
Empty tmp folder
rm: cannot remove ‘/opt/piratebox/tmp/’: Is a directory
Copy over design files
/opt/piratebox/bin/distribute_files.sh: 41: [: all: unexpected operator
Distribute all into /opt/piratebox/share/Shared
cp: cannot stat ‘all’: No such file or directory
[ ok ] Starting hostap… :.
[….] Setting up wlan:Bringing up wifi interface wlan0
Setting up wlan0
[ ok ] Starting dnsmasq… :.
[ ok ] Starting droopy…:.
Generated HTML-Shoutbox File.
chmod: cannot access ‘ug+rw’: No such file or directory
[….] Starting lighttpd…:2016-04-28 17:54:29: (network.c.409) can’t bind to port: 80 Address already in use
(warning).
Je suis vraiment bloqué.
Quelqu’un aurais t-il une piste ?
Merci d’avance !
Bonjour,
Peut-on utiliser cette version de piratebox avec un raspberry PI 3 ?
Merci pour vos réponses !!
LOL : c’est pas une pirate box, c’est simplement file serveur.
N’importe quel PC peut faire ça en quelques minutes !
quel temps perdu pour une fonction aussi basique.
ridicule.