La (très tenace) rumeur d’un portable Xiaomi de retour

Il y a plein d’origines possibles à ce type de rumeurs, du simple montage photo pour s’amuser qui devient viral aux fuites organisées par une marque pour tester le marché en passant par des fantasmes transposés en faits de forum en forum…

Et revoilà donc la rumeur d’un portable made by Xiaomi. Rumeur probablement alimentée par la capacité de la marque Chinoise à délivrer des produits bien finis à prix intéressants. Cette fois-ci, on chuchote que l’engin serait déjà en chantier et serait à terme construit par le Taiwanais Inventec pour une livraison à la mi 2016.

Portable Xiaomi fake

La dernière fois qu’un portable de Xiaomi a été clairement évoqué, c’est suite à un photomontage grossier présentant cet ultrabook noname comme une machine de la marque. Xiaomi n’a d’ailleurs pas tardé à indiquer qu’il s’agissait d’une image retouchée.

Aujourd’hui la rumeur vient d’Inventec, enfin d’une citation du Tapei Times du patron d’Inventec, expliquant l’arrivée du fabricant à succès dans son propre business. « Nous allons commencer à expédier les ordinateurs portables de Xiaomi au premier ou au second trimestre de l’année prochaine » déclare t-il.

Bloomberg avait déjà titré sur la possibilité d’un ultrabook très haut de gamme de la marque pour concurrencer Apple sur le segment occupé par ses Macbooks. Avec un matériel haut de gamme pour un prix au raz des pâquerettes, Xiaomi serait donc sur le point (depuis 2 ans maintenant) de lancer un engin à couper le souffle.

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L’argument habituel pour expliquer cet étonnant ratio de performances et de prix est toujours le même : La marque chercherait à se faire « connaitre » du grand public. La réalité du succès de Xiaomi est tout autre, il s’agit avant tout de produits destinés au marché Asiatique, vendus aux prix correspondant à ce marché localement et adapté ensuite à différents pays (France, Allemagne, USA, UK) au travers d’une boutique dédiée en ligne, vendant à des tarifs moins intéressants que localement, 4 accessoires sur l’énorme gamme de produits de la marque en Asie.

La question qu’il faut alors se poser est simple : Est-ce vraiment rentable pour Xiaomi de venir se frotter à l’énorme concurrence mondiale d’un marché PC en décroissance ? Quel atout possède la marque pour venir se positionner sur ce marché particulier ? Va t-il réussir à fabriquer des produits moins chers que tous les autres ? A mieux les assembler ? Non, il n’y a pas de recettes miracles sur ce marché. Si Xiaomi s’investit dans le monde des PC, il aura moins de poids qu’un Lenovo ou un HP. Son seul point fort sera sa gestion d’une commercialisation en direct.

Il serait probablement possible d’acheter un portable Xiaomi en importation depuis un revendeur à Taiwan. Mais cela aurait t-il du sens ? Pour l’acheteur, une acquisition de ce type se traduirait par un SAV plus complexe, une documentation en Chinois ou, au mieux en Anglais, un clavier et un système pas forcément localisés. Mais pour Xiaomi, quel « nouveau public » cela lui apporterait ? Si la marque cherche à conquérir des parts de marché, ce n’est pas avec de l’importation « sauvage » qu’elle y parviendrait aussi le jeu n’en vaudrait pas la chandelle.

Reste la possibilité de vendre via son magasin en ligne pour économiser la marge laissée aux revendeurs… Mais alors les prix seraient soumis à nos taxes et nos règles d’importations. Rendant l’opération beaucoup moins intéressante pour l’acheteur et la mise en concurrence plus dure pour Xiaomi face aux marques déjà établies. Et puis quel est l’internaute qui ne connait pas déjà Xiaomi qui achèterait en ligne sans jamais l’avoir vu un ordinateur portable signé Xiaomi ?

Un ordinateur portable signé Xiaomi en 2016 ? Pourquoi pas. Un vrai concurrent pour les marques établies en Europe ? Je n’y crois pas une seconde.


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20 commentaires sur ce sujet.
  • 25 septembre 2015 - 14 h 20 min

    Je verrais bien un OS linux modé sauce Xiaomi, c’est à dire singeant Apple, un peu comme elementary OS ou le pack macbuntu.

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  • 25 septembre 2015 - 14 h 46 min

    Je n’y crois pas spécialement, à la limite je trouverai plus réaliste que le PC en question soit sous Android ou à la manière d’un chromebook, ils peuvent plus rapidement mettre en place une surcouche MIUI dans un plus grand écran + clavier/touchpad. Ils ont déjà adapté cette surcouche sur leur tablette MiPad, ils peuvent très bien aller un peu plus loin en proposant une « tablette » sous core M avec Android.. M lui aussi ^^

    Un Linux avec une distrib Xiaomi je n’y crois pas, un Windows 10 avec des applis MIUI non plus. Après ils touchent un peu à tout les domaines et surtout dans l’objet connecté, donc ce n’est pas non plus impossible. Ils peuvent même très bien créer une marque complètement différente sans même évoquer « xiaomi » comme c’est le cas d’Yeelight (ampoules connectés).

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  • 25 septembre 2015 - 14 h 48 min

    A mon avis le point fort de Xiaomi sur ce segment, ca serait un mod d’Android a la Remix (ils ont deja leur variante d’Android pour smartphone)

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  • 25 septembre 2015 - 14 h 50 min

    Vu ce qu’ils font avec les téléphones ca m’étonnerait pas qu’ils arrivent a modifier windows =p
    Mais si c’est comme avec leur telephone ca annonce du bon !

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  • 25 septembre 2015 - 14 h 56 min

    C’est une très bonne nouvelle. Les fuites vont s’accélérer à mesure que le projet avance et j’espère qu’ils ne feront pas une solution au rabais.
    En tout cas s’ils partent sur une base alu et s’inspirent des MacBook je risque d’être client !

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  • 25 septembre 2015 - 15 h 49 min

    @obarthelemy:
    L’horreur :-D

    Ils peuvent aussi le présenter sans OS, ou avec plusieurs choix sur le site de vente. Du sérieux passe-partout comme un choix dans le panel Debian/CentOS/Win 10.
    S’ils partent sur du ChromeOS, Android ou tout autre système destiné au mobile, c’est foutu pour eux.
    En dehors du prix, du look élancé/avantageux, ils adorent se démarquer mais j’ai peur qu’ils agissent sous l’influence de leur transfuge/vice-président Hugo Barra : une base android, quoi ;-(

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  • 25 septembre 2015 - 16 h 57 min

    La machine présentée comme retouchée existe bien, j’en ai acheté un en solde il y a 4 mois, c’est un ultrabook Samsung.

    Du coup la machine XIAOMI est peu probable au moins sous cette forme.

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  • 25 septembre 2015 - 17 h 35 min

    Un hybride 2-en-1 peut-être ? C’est la mode en ce moment en Chine, l’incontournable. Et pourquoi pas sous Windows 10 puisqu’ils ont déjà un partenariat avec Microsoft, ils devront bien se lancer un jour ou l’autre avec Windows. Ou peut-être un dual boot Android/Windows? Ca se fait bien en Chine aussi…

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  • 25 septembre 2015 - 20 h 41 min

    @clark ChromeOS n’est pas un système destiné au mobile.

    Pour moi, la piste Chromebook est la plus probable si jamais Xiaomi produit une machine portable.

    Faire du Mac, c’est pas possible. Faire du Windows, c’est affronter les géants du marché (HP, Lenovo, etc.) et sombrer dans un certains anonymat. Faire du Linux… ChromeOS est la solution la plus raisonnable (applications Google, qualités du système, hardware supporté, simplicitié d’utilisation et de déploiement, mise à jour du système par Google, etc.). En fait, je vois plus une machine type Pixel ou comme le nouveau Dell Chromebook 13.

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  • 26 septembre 2015 - 10 h 23 min

    Yep, je parlais des dépendances android pour le mobile.
    Mais pour moi c’est aussi bancal/du même acabit, puisque ça s’appuie principalement sur les bases posées par Chrome & des applications-web, pour la grosse majorité Google (il faut donc épurer encore, déjà qu’il n’y a pas grand chose…).
    Interface vraiment rikiki tournant principalement autour du browser avec le lecteur multimédia, un explorer de fichiers et ces fameuses applis-web, tout ceci centré sur internet. De plus, soit on achète un netbook estampillé Google, soit on s’amuse à le faire tourner en machine virtuelle : quelle liberté !
    Snowden doit aimer, surtout que Google et la confidentialité, android et la sécurité (une bugmobile comme dirait bugman, le copain de batman)… :-D

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  • 26 septembre 2015 - 10 h 39 min

    @msxsan : l’intérêt pour eux c’est leurs applications, je les voient plus sur une base Android (déjà présents) qu’en webapp sur un chromebook, et encore moins sur du windows (même s’ils ont du Mi PC Suite).

    EN général les produits sont reliés à leur écosystème (mi band, pèse personne, détecteur de mouvement, caméra ip…) d’applications Android. Logiquement un PC devrait offrir ses mêmes possibilités, et à moins de bosser à fond sur des logiciels perdre beaucoup d’argent et de cout de développement, ce serait plus facile de déporter des applications existantes venant d’android… Mais après je spécule à mort hein ce n’est qu’un avis ^^

    Dans tous les cas, je suis hyper curieux de ce que sortira xiaomi.

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  • 26 septembre 2015 - 10 h 54 min

    Dell s’est très bien porté pendant des années avec la vente en direct… Xiaomi pourrait tout à fait travailler un minimum de réseau localement pour reprendre ce flambeau. Car les problèmes de Dell sont aussi venus du fait qu’on ne parvenait pas à les joindre, des délais à rallonge/pb de livraison, puis que le matos a baissé en qualité a partir du milieu des années 2000. Bref, des pb d’organisation puis de qualité et non de business model.

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  • 26 septembre 2015 - 13 h 21 min

    Il ne faut pas oublier la stratégie plus globale de Xiaomi qui est d’étendre sa présence commerciale sur le monde croissant de l’IoT.

    Leur projet/souhait d’insvestir dans 100 startups techno avec un pendant hardware l’illustre bien.

    Leurs lancements de produits assez inattendus (purificateur d’air, caméras de sport…) le soulignent aussi.

    Ajouter à cela une stratégie marketing aggressive (ayant pour but d’etre considéré comme trendy dans l’esprit des jeunes asiatiques qui jusque là ne juraient que par Apple) et il est en effet possible d’imaginer le lancement d’un laptop.

    Mais comme le souligne très bien Pierre, il est peu probable que les quelques millions de clients européens, devant en plus etre évangilisés, pèsent dans la balance face à l’Asie et ses dizaines de millions de clients qui connaissent (et apprécient) déjà la marque…

    JC

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  • 26 septembre 2015 - 19 h 24 min

    @Benji_X80 Je suis d’accord avec toi que Xiaomi a un écosystème centré sur Android et c’est bien pour ça que ChromeOS est une solution logique puisque ChromeOS sait faire tourner les applications Android. Construire une application ChromeOS à partir d’un apk est quelque chose de vraiment simple. Il existe même des outils qui le font en quelques clics telle que Twerk (https://chrome.google.com/webstore/detail/twerk/jhdnjmjhmfihbfjdgmnappnoaehnhiaf/related?utm_source=chrome-app-launcher)).

    ChromeOS embarque une boîte de compatibilité (un peu comme l’ancien mode Classic de MacOS X) qui lui permet de faire tourner simultanément des applications Android et des applications Chrome.

    @Clark D’un point de vue logiciel, l’offre ChromeOS couvre de nombreux domaines. En bureautique, si tu ne veux pas utiliser Google Document, tu disposes d’Office365 et de quelques autres produits. Pour le stockage des données, Google Drive est le choix par défaut mais pas le seul possible. Tu peux utiliser d’autres solutions de stockage Cloud, utiliser ta propre solution (connecteur Samba par exemple) et même développer ton propre filesystem en ligne (il existe une api dédiée: https://github.com/google/chromeos-filesystems). Si tu le désires, tu peux même utiliser un disque dur local ou un ton propre NAS.

    La vision OS navigateur n’est plus vrai depuis septembre 2013 lorsque Google a demandé aux développeurs de donner la priorité au mode offline. De nombreux logiciels ChromeOS tournent sans connexion web et savent souvent tirer parti d’une connexion pour synchroniser les données. Même la suite Google Document permet de travailler dans le train sans la moindre connexion. ChromeOS est un système basé sur un noyau Linux et ses API pour le développement sont les API Chrome.

    Pour la sécurité, ChromeOS est pour moi un modèle. Le cycle de développement est itératif avec de nombreuses mises à jour (une majeur toutes les 6 semaines avec des évolutions du système et d’autres plus légères qui sont le plus souvent des correctifs de sécurité). Il est même possible de switcher sur les versions béta ou de dev du système. Le rollback à la version précédente du système se fait en deux clics. La restauration avec réinstallation des applications, de l’environnement, des préférences prend… 5 minutes max. Sur mon parc de machine, les deux sous ChromeOS sont celles qui m’inspirent le plus confiance.

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  • 26 septembre 2015 - 19 h 33 min

    Je ne pense pas qu’ils s’aventurent dans des OS exotiques (j’appelle Chrome OS un OS exotique), parce qu’ils ne me semblent pas particulièrement populaires en Chine.

    En Chine, il y a un gros marché du PC à 400€, et à côté de ça, les Chinois qui veulent un bon ordi cassent la tirelire pour un mac à 1000€ ou +. Je pense qu’il y a de la place pour un ordi qualitatif à 600/700€, avec Windows tout simplement.

    Si le marché du PC ne fait pas rêver les gros constructeurs car cela ne rapporte plus autant, en Chine la démarche industrielle est différente.

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  • 27 septembre 2015 - 18 h 55 min

    « Pour la sécurité, ChromeOS est pour moi un modèle. »
    Pardon ? Un modèle de quoi ? C’est google le principal problème de sécurité, ils s’arrangent juste pour que personne d’autre qu’eux n’exploite leurs outils d’espionage et de publicité en ligne.

    J’avoue être perplexe sur ta notion de confiance, pas pour dire que windows ou apple sont bien meilleurs, mais leur fond de commerce n’est pas le vol et l’exploitation des données personnelles…

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  • 27 septembre 2015 - 22 h 01 min

    @dadoo tu confonds sécurité et confiance. Ce sont deux aspects bien différents.

    Sur le plan de la sécurité, ChromeOS est bien suivi. Il s’appuie sur une base de code open-source (les projets Chromium et Chromium OS https://www.chromium.org/chromium-os) et Google assure lui-même l’évolution et le déploiement du système (contrairement à Android qui est maintenu pour chaque appareil par le constructeur). Les mises à jour de sécurité sont bien plus fréquentes que sur MacOS X (pour Windows, je n’ai pas la pratique nécessaire sur les toutes dernières versions pour juger).

    Par rapport aux distributions Linux, la couche logicielle est plus restreinte et surveillée (un noyau Linux, un nombre limité de librairies, un ensemble d’API dédiées à Chrome et Chrome lui-même. Les applications doivent obligatoirement déclarer leur comportement via un manifeste dont le contenu doit être approuvé par l’utilisateur). Le système est basé sur une Gentoo.

    La confiance est une autre problématique. Google n’est pas le seul (et ne sera pas le dernier) à s’intéresser à ses utilisateurs. Penser que le seul et unique modèle économique de Google soit les données est une analyse qui a plusieurs années de retard. Google est maintenant (tout comme Apple ou Microsoft), une société qui a diversifié son activité (recherche web, stockage, messagerie, services pour l’entreprise, hébergement, recherches médicales, robotique, hardware informatique, systèmes d’exploitation, vente en ligne de produits culturels, produits domotiques, etc.). Choisir Google est un choix en terme de confiance mais c’est exactement le même choix qu’il s’agit de faire si l’on opte pour le Cloud d’Apple, le Cloud de Microsoft ou n’importe quelle offre dans le Cloud de n’importe quelle autre société. ChromeOS n’impose pas le stockage dans le cloud de Google et laisse le choix à l’utilisateur.

    A chacun de savoir gérer ses données, de stocker ce qui opportun dans le cloud et en local lorsque c’est confidentiel.

    Répondre
  • 27 septembre 2015 - 22 h 04 min

    Comme tu le dis…

    Cet OS hyper-dépouillé (quelque soit tes remarques sur l’offline, son mode de fonctionnement tourne bien autour du web) tournant autour du navigateur peut être robuste, ce serait la moindre des choses avec 50 ou 100 fois moins de lignes de code.

    Mais le maillon foireux est bel et bien Google…
    Pourquoi s’attaquer à l’OS lorsqu’il est possible de s’attaquer directement au Cloud (piratage récent d’emails gmail, documents et conditions pas vraiment nettes sur la confidentialité et l’évolution de la charte s’y rapportant), que des techniciens de la boite écrasent par mégarde le contenu de ton stockage, etc…
    « Vous reconnaissez et acceptez que si Google désactive l’accès à votre compte, vous puissiez être dans l’impossibilité d’accéder aux Services, aux détails de votre compte, aux fichiers ou à tout autre élément contenu dans votre compte » : très plaisant ! Non seulement Google te dépouillera, mais tu seras en plus perpétuellement en danger sans pouvoir te protéger.
    Quoique tu dises, l’utilisation d’une bécane privilégiant un fonctionnement en mode connecté fait peur.

    Quant à se servir de cet OS dans un gros parc de machines, je trouve cela étrange, alors qu’un accès par SSO, des clients légers (au même prix que les netbooks chromeOS) sont de plus en plus employés (conjointement avec la virtualisation). Un nombre important d’applications lourdes et parfois propriétaires ininstallables sur cet OS, sont souvent utilisées (et pas que de la petite retouche-photo, de la bureautique sans macro, etc…) Je me pose aussi la question des connecteurs pour des baies et des équipements actifs, l’application d’une administration avancée pour un gros parc/forêt, le déploiement de masse des MAJ, etc…
    J’ai lu qu’une palanquée d’utilisateurs ne savaient pas ou Google installe ses applications, se demandent où se trouve une gestion avancée de l’OS : tu vas me dire que ce n’est pas indispensable, mais moins on se pose de questions, plus ce système peut se révéler dangereux. C’est déjà plus ou moins le cas avec Krosoft mais là, on pousse encore plus loin le bouchon.
    Et 1ère fois que j’entends parler de chromeOS dans un parc professionnel : il faut être couillu ! :-D

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  • 29 septembre 2015 - 13 h 19 min

    Effectivement je classe ensemble sécurité et confiance, car l’un n’est rien sans l’autre.

    Pour le reste je plussoie clark, mais je ne comprends pas ton discours super rationnel par moment et – à mon avis – déconnecté de la réalité à d’autres.

    Quelles que soient les implications de google dont tu as parlé, elles ont toutes pour but de cibler davantage les utilisateurs, c’est dans l’adn de ce groupe dont les comportements (signalés par clark) ne sont qu’une forme moderne de despotisme.

    Comme je le dis souvent ici, on pourra pas sauver tout le monde, si tu veux courir le risque…

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  • 30 septembre 2015 - 6 h 53 min

    Au risque de me répéter, je ne vois vraiment pas Xiaomi sortir un PC sous Chôme Os sur un marché où les services Google sont bloqués.

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